Ils sont partout, tellement familiers qu’on ne les appelle plus que par leur petit nom. Avec 11 millions de jours d’arrêt de travail par an en France, les troubles musculo-squelettiques, TMS pour les intimes, sont le mal du siècle. L’étiopathie, pour soigner les troubles musculo-squelettiques est une véritable solution naturelle!

Que nous bougions trop ou pas assez, que nous passions notre vie en grande partie debout ou au contraire huit heures par jour assis au bureau ou au volant, la douleur apparaît, brutalement ou insidieusement, par faux mouvement ou petites accumulations, et notre corps crie grâce. Fatalité ? Non pas, si l’on se donne la peine d’apporter une réponse adaptée au problème.

Aujourd’hui encore, trop de malades subissent, semaine après semaine, mois après mois, infiltrations et massages, avalent à la chaîne analgésiques, anti-inflammatoires et pansements gastriques, pour des pathologies pourtant réductibles en quelques séances – à condition d’employer la bonne méthode. Exemple le plus flagrant, ce « mal de dos » qui continue de frapper un peu tout le monde et continue de faire régulièrement la UNE des magazines en quête de record des ventes, car toujours aussi peu soigné efficacement, alors que l’étiopathie obtient des résultats constants en… une seule à trois séances pour les affections aiguës, et en moyenne cinq à sept interventions seulement pour les formes chroniques !

L’Etiopathie, pour soigner les troubles musculo-squelettiques. Il faut savoir que l’analyse étiopathique s’écarte radicalement des idées reçues. En poursuivant notre exemple du mal de dos et plus précisément l’origine des dorsalgies, l’Étiopathie rappelle que l’arthrose, souvent incriminée, est une formation osseuse inerte (ostéophyte), non innervée, insensible, qui n’a jamais provoqué de douleurs chez quiconque.

L’étiopathie soigne les troubles musculo-squelettiques

Pour l’étiopathie les dorsalgies sont dues à des lésions articulaires (lésions étiopathiques) au niveau des vertèbres thoraciques et à l’irradiation douloureuse d’informations communiquées par les ligaments qui souffrent. D’où son efficacité, car la réduction des lésions par intervention locale suffit effectivement pour supprimer les conséquences douloureuses. Les médications à base de corticoïdes ou de cortisone, en revanche, présentent l’inconvénient de ne soigner que les symptômes (la douleur) tout en faisant courir des risques aux patients par les accidents secondaires qu’elles provoquent. Seules les très rares dorsalgies consécutives à des maladies infectieuses, inflammatoires ou terminales font exception à la règle.

L’approche étiopathique des TMS s’énonce ainsi en trois points :

  • Les TMS, trouble d’origine mécanique, relèvent en priorité d’un traitement mécanique,
  • Plus tôt sera traitée la contrainte mécanique ayant déclenché le trouble, plus rapidement interviendra la guérison.
  • Seuls les cas particulièrement graves, installés de trop longue date ou d’origine virale, très rares, relèvent de traitements chirurgicaux ou médicamenteux, palliatifs ou curatifs.

Ajoutons que l’étiopathie permettant les traitements les mieux ciblés de par l’originalité de sa méthode et la pertinence de son raisonnement, ceux-ci comptent aussi parmi les plus efficaces entre tous les traitements manuels.

L’Étiopathie contre les TMS

L’étiopathie apporte donc une solution adaptée de grande qualité et complémentaire de la médecine classique. Procédant d’un traitement manuel, donc écologique, elle s’inscrit dans la tradition millénaire des rebouteux dont les traitements sont à la fois universels, homogènes et pérennes. A l’apogée de cette tradition en s’inscrivant désormais dans un cadre scientifique strict, l’Étiopathie apporte sa solution naturelle et radicale : son économie de moyens et son efficacité sans recours à la chimie la rendent incontournable pour soigner nos maux quotidiens.Quelques exemples de traitements de TMS par l’étiopathie

  • Les accidents articulaires : foulures, entorses, luxation

Si certaines luxations peuvent être du ressort de la chirurgie, la plupart des accidents articulaires sont parfaitement traités par étiopathie. Seule une rupture des ligaments (cas relativement rare) entraînera une immobilisation. Mais dans l’immense majorité des cas de foulure, d’entorse et même de luxation, le résultat, obtenu par simple réduction mécanique, est le plus souvent immédiat.

  • Le syndrome du canal carpien

Seuls des cas très minoritaires nécessitent une intervention au niveau du poignet. En effet, si les douleurs se situent bien au niveau de la main, avec aussi parfois irradiations vers l’avant-bras, le coude et même l’épaule, l’étiopathie intervient à l’endroit d’où elles sont déclenchées, au niveau de la colonne vertébrale (cervicale et dorsale), et précisément là où émerge le nerf médian, qui entraîne le trouble circulatoire à la main.

Plus la prise en charge se fait tôt, dès les premiers symptômes, moins de séances seront nécessaires, et le traitement du syndrome du canal carpien  consistant à intervenir sur la zone cervico-dorsale permettra à lui seul de supprimer l’ensemble des troubles perçus par le patient

  • Le lumbago

Provoqué généralement par un « faux mouvement », le lumbago est dû à une entorse vertébrale. Cet accident articulaire provoque une contracture musculaire qui déforme complètement la posture du malade. Le traitement étiopathique consiste à rétablir la libre mobilité de l’articulation. Pris à temps, le lumbago peut disparaître dans les heures qui suivent l’intervention. Pris tardivement, il faut compter cinq à huit interventions. À noter que non traité, le lumbago peut devenir chronique, aboutir à une lombalgie permanente avec formation d’arthrose, et parfois évoluer vers l’ankylose définitive.

Elles sont dans 95% des cas le résultat d’une lésion articulaire précédente, pouvant remonter à plusieurs mois voire plusieurs années. Le seul traitement efficace sera donc la réduction des lésions à l’origine des douleurs, le nombre de séances nécessaires dépendant de l’ancienneté du phénomène ayant entraîné l’installation des douleurs.

  • Les sciatiques (ou névralgies sciatiques ou sciatalgies)

Qu’elle soit ou non accompagnée de fonte du volume musculaire, l’étiopathie guérit cette affection si douloureuse dans 95% des cas, en réduisant les lésions cette fois au niveau de la charnière lombosacrée ou des articulations du bassin. Un traitement aux résultats définitifs et constants demande en moyenne quelque huit interventions. Seuls les cas extrêmes (sciatique paralysante) relèvent de la chirurgie.

  • Les hernies discales

Elles sont encore trop souvent incriminées dans les douleurs vertébrales, alors qu’il n’y a pas de rapport de causalité directe entre hernie discale et douleur dans la plupart des cas : de nombreuses personnes présentent des hernies importantes sans ressentir aucune douleur, et à l’inverse, des douleurs se font sentir en l’absence de hernie. En réduisant les lésions responsables des douleurs ressenties par le patient, l’Étiopathie traite avec succès quantité de cas où les hernies étaient mises en cause à tort, évitant des interventions chirurgicales qui se seraient montrées inutiles voire délétères en cas de complications. Seuls les cas graves ressortent de la chirurgie. Les autres sont traités en moins de dix interventions.

  • Épicondylite et épitrochléite (tennis-elbow et golf-elbow)

Il faut savoir que ces deux formes d’inflammation de la protubérance externe ou interne du coude ne sont pas dues à la pratique de ces sports, mais juste exacerbées par celle-ci. Ici aussi, le traitement étiopathique réduisant les lésions vertébrales primaires rompt le cercle pathologique local et aboutit à des résultats positifs et constants entre quatre et huit séances, selon le degré d’évolution, avec bien sûr reprise de la pratique.

  • Les capsulites

Les pathologies inflammatoires chroniques de l’épaule sont traitées en moyenne sur 18 mois en médecine classique, via anti-inflammatoires, imagerie médicale, voire des interventions chirurgicales, et séances de kinésithérapie, elles le sont en trois mois en moyenne par étiopathie, le traitement consistant à la fois à réduire les lésions articulaires vertébrales ayant causé les inflammations et à agir localement pour obtenir la récupération des mouvements articulaires et la disparition des douleurs le tout en quatre à huit séances selon l’ancienneté de la pathologie. Ainsi, en cas d’ « épaule gelée » ayant déjà subi des infiltrations répétées, le traitement sera plus long et des séquelles susceptibles de persister, ce pourquoi il est conseillé de se faire soigner précocement possible.

Deux cas de figure :

lorsque la tendinite fait suite à une surcharge de travail et de mouvement inhabituels, une mise au repos et un traitement étiopathique local, généralement une seule séance, suffisent.

lorsque la tendinite se produit sans faire suite à un effort inhabituel ni à un accident quelconque, elle ne peut être due qu’à une lésion étiopathique articulaire vertébrale dont les conséquences à distance se font ressentir dans les tendons innervés par cet étage vertébral. Le traitement sera alors à la fois local et à distance sur l’étage vertébral responsable. Entre trois et cinq séances, selon le cas, suffisent.

Ici aussi deux cas de figure :

les torticolis de type congénital, les plus rares, qui apparaissent dès la naissance : pris à temps, ils disparaissent par traitement manuel au niveau de la colonne cervicale haute, l’étiopathie permettant d’éviter l’intervention chirurgicale sur le nouveau-né ;

les torticolis de type acquis : ils sont facilement réductibles par étiopathie (une à quatre séances), avec disparition totale des phénomènes douloureux. Comme souvent, font exception à la règle les (très rares) cas présentant une gravité telle que la déformation douloureuse du patient rend impossible l’action étiopathique directe.

L’éthiopathie peut être remboursée par votre mutuelle

Notons enfin qu’une grande partie des accidents articulaires à l’origine des TMS ont lieu au travail. On comprend dès lors l’intérêt croissant que portent les chefs d’entreprise à l’étiopathie, qui permet un retour rapide des travailleurs en pleine santé.

Dans le cadre de l’obligation de l’inscription obligatoire de leurs salariés à une mutuelle, ils sont de plus en plus nombreux à avoir souscrit un contrat avec l’une des quelque 200 mutuelles qui remboursent les frais d‘intervention étiopathique, et compensent ainsi le fait que les soins étiopathiques ne sont pas remboursés par la Sécurité Sociale.