lululemon a publié aujourd’hui son deuxième Rapport annuel mondial sur le bien-être, démontrant l’inlassable engagement de l’entreprise en faveur d’une approche holistique du bien-être dans ses dimensions à la fois physiques, mentales et sociales. L’étude portant sur 10 marchés1 mesure l’état du bien-être en s’appuyant sur l’Indice mondial du bien-être et explore les facteurs et les obstacles du bien-être.

 

« En ces temps difficiles qui ne sont toujours pas dernière nous, notre deuxième enquête mondiale sur le bien-être montre que les individus recourent à d’importants mécanismes d’adaptation pour améliorer leur santé mentale, tout en aspirant d’un autre côté à plus de lien. Chez lululemon, nous pensons que tout le monde a le droit au bien-être – ces données sont une invite à poursuivre les efforts mutuels en faveur de la santé et du bien-être collectifs, et des populations que nous desservons. »

Calvin McDonald

Cette année, l’Indice mondial du bien-être affiche avec 66 points une progression d’un point, poussée par des progrès en matière de santé mentale qui s’expliquent par l’amélioration des stratégies d’adaptation développés par les uns et les autres tout au long de la pandémie. Parmi les faits marquants, il convient de relever ici les défis auxquels est confrontée la génération Z, les conséquences négatives de la consommation excessive des médias sociaux et l’emprise des réseaux sociaux, notamment les avantages en termes de bien- être liés au retour au bureau.

L’indice repose sur l’évaluation du ressenti physique, mental et sociale sur l’échelle du bien-être par les populations de tous les continents. En voici les principales conclusions :

Le bien-être peut être renforcé par une focalisation accrue sur la santé mentale et l’amélioration des stratégies d’adaptation.

  • Le bien-être mental s’est amélioré depuis l’année dernière, tandis que le bien-être physique et social est resté au même niveau. En dépit de la légère hausse enregistrée depuis l’année dernière, le bien- être social reste la plus faible des trois

 

  • Les principaux facteurs de bien-être sont les suivants : la bonne santé physique, la confiance en soi, la gestion efficace du stress, suffisamment d’énergie pour accomplir les tâches quotidiennes, le sentiment d’être en phase avec ses émotions, un bon équilibre entre le travail, l’école et la vie privée, et un sommeil

 

  • Les quatre stratégies d’adaptation qui affichent les plus fortes progressions sont le temps passé à l’extérieur (+10 %), la pratique d’une activité physique (+9 %), le contact avec les autres (+8 %) et les pauses détente que l’on s’accorde tout au long de la journée (+8 %). Parmi les autres stratégies d’adaptation déterminantes figurent le fait de dormir suffisamment, d’écouter de la musique et de manger

Le bien-être holistique est à la peine, en particulier chez lagénération Z

 

  • Si le sentiment de bien-être montre des signes d’amélioration, un besoin crucial d’amélioration du bien-être holistique persiste néanmoins. Ainsi, seuls 21 % des représentants de la génération Z font état d’un degré élevé de bien-être dans les trois catégories (contre 29 % pour la population totale).

 

  • La génération Z affiche un indice de bien-être mental et social plus faible que toute autre génération. Les membres de la génération Z sont 1,5 fois plus nombreux à être inaptes à gérer efficacement le stress et à reconnaître des niveaux de solitude élevés (53 % contre 40 % de la population totale).

 

  • D’une manière générale, l’absence de tout réseau de soutien – il faut entendre par là les relations avec des personnes qui partagent les mêmes opinions, la participation à des groupes virtuels autour de centres d’intérêt partagés et l’accès à des services et des ressources dédiés à la santé physique ou mentale – constitue le principal obstacle au bien-être dans le Parmi les autres obstacles au bien-être, citons le stress, la pandémie, le manque d’argent, le manque de temps, les problèmes de santé et le manque de connaissances.

L’utilisation des médias sociaux en pleine conscience a un impact persistant sur le bien-être

  • Les médias sociaux ne reposent pas sur la règle du « tout ou rien » : les personnes qui passent une heure par jour sur les médias sociaux sont celles qui affichent le degré de bien-être le plus élevé.
  • Tandis que plus de la moitié (53 %) des personnes interrogées déclarent que les médias sociaux les aident à se sentir « connectés » au monde extérieur, les gros consommateurs de médias sociaux (plus d’une heure par jour) font état de répercussions négatives plus marquées sur leur bien-être social, parmi lesquelles le sentiment d’exclusion sociale et la tendance à sans cesse se comparer aux
  • Les effets négatifs des médias sociaux sont ressentis avec davantage d’acuité par la génération Z, la plus grosse consommatrice de médias sociaux avec trois heures de présence par jour en

Certes, le retour au travail en présentiel favorise le bien-être, mais les employeurs sont contraints de mettre en œuvre des changements pérennes.

  • Le bien-être est directement associé au retour sur le lieu. Les personnes qui ont repris ou s’apprêtent à reprendre une activité à temps plein en présentiel font état d’un degré de bien-être supérieur à celles qui ne retrouvent leur lieu de travail qu’à temps partiel ou qui ne reprendront aucune activité en présentiel.

 

  • Si le retour au travail en présentiel est bénéfique pour le bien-être, les employés sont tout aussi préoccupés par l’exposition au COVID-19 (53 %) et par le fait de disposer de moins de temps pour soi (52 %). La génération Z est celle qui est la plus préoccupée par le temps disponible pour soi (66 %) et les parents d’enfants de moins de 13 ans sont aux prises avec des situations d’urgence liées à la garde de leurs enfants (33 %).

 

  • Les employés ont des attentes plus élevées vis-à-vis de leurs employeurs et aspirent à des changements pérennes. Près de la moitié des employés (44 %) souhaitent davantage de flexibilité en termes d’horaires et de choix du lieu de travail, y compris au-delà du contexte actuel dicté par la pandémie, suivis de près par un soutien accru en matière de santé mentale et physique – en particulier chez la génération Z et auprès des personnes.

L’appartenant à un groupe social joue un rôle essentiel dans le renforcement du sentiment de bien-être

  • La moitié des citoyens du monde (52 %) reconnaissent les enjeux du collectif et soulignent unanimement l’importance du sentiment d’appartenance à un groupe social – un sentiment qui constitue un pilier du bien-être

 

  • Les personnes qui jugent important le sentiment d’appartenance à un groupe social et d’apporter au collectif quelque chose en retour sont davantage enclines à dénoter des niveaux de bien-être supérieur.

 

  • Les personnes qui ne reconnaissent pas les bienfaits potentiels du groupe constatent des effets négatifs sur leur bien-être : ainsi, seuls 15 % d’entre elles font état d’un degré élevé de bien-être global, à mettre en regard de la moyenne mondiale qui s’établit à 29 %.

 

En plus du Global Wellbeing Report, lululemon a annoncé aujourd’hui qu’une formation aux premiers secours en matière de santé mentale sera proposée à tous les employés dans le monde, de l’éducateur au PDG, d’ici 2023.

En commençant par les managers, la formation dotera les participants d’outils pour identifier les signes de détresse émotionnelle et les mettre en relation avec les ressources appropriées, y compris les prestations de santé mentale de lululemon.

Par ailleurs, le Centre d’impact social de lululemon a annoncé ce jour l’octroi de nouveaux fonds, à hauteur de 2,25 millions de dollars US, au profit d’organisations à l’ancrage local et d’organismes à but non lucratif d’envergure mondiale dédiés au bien-être sur la chaîne d’approvisionnement mondiale, notamment le programme Made by Women de CARE (qui promeut l’amélioration des pratiques sur les chaînes d’approvisionnement mondiales), le Resilience Fund for Women des Nations unies (qui investit dans la santé pérenne et la résilience économique des femmes œuvrant sur la chaîne d’approvisionnement mondiale) et le Women Win (un fonds mondial de soutien au bien-être des femmes fabricantes). Le Centre pour l’impact social de lululemon, qui vient d’être inauguré, entend lutter contre les inégalités en matière de bien-être par le biais du mouvement, de la pleine conscience et de l’engagement proactif, et poursuit un objectif clair : toucher plus de 10 millions de personnes dans le monde d’ici 2025 grâce à une promesse de fonds de 75 millions de dollars US.