Depuis le début de la crise de la COVID-19, nombreuses sont les entreprises qui ont coulé à cause de la baisse des ventes, bien que pas toutes. Le secteur du cannabis remporte la bataille face à la crise de la COVID-19. Les ventes ont explosé de façon automatique.

Lors du premier état d’urgence, la population avait peur de sortir et s’exposer au virus, et faisait en sorte de cumuler suffisamment de provisions à domicile. D’autres, pour ne pas avoir à sortir, cultivaient également leurs propres produits à la maison. C’est ce qui s’est produit avec GB, qui permet de cultiver vos propres matières premières.

Quels sont les avantages à cultiver du cannabis ?

Grâce aux bienfaits qu’il procure aux personnes, le cannabis est un secteur qui ne cesse de croître. Ceux qui pensent qu’il ne s’agit que d’une plante aux effets psychotropes en oublient les avantages physiques.

  • C’est un anti-inflammatoire naturel, qui combat efficacement la douleur.
  • Il peut augmenter l’appétit.
  • Il réduit considérablement les nausées.
  • Il ralentit la progression de la maladie d’Alzheimer.
  • Il freine la propagation rapide des cellules cancéreuses.
  • Il améliore l’état des poumons.
  • Son action relaxante favorise un sommeil réparateur.
  • Il réduit les tics des patients souffrant du syndrome de Gilles de la Tourette.
  • Il diminue les crises épileptiques de façon considérable.
  • C’est un traitement naturel du glaucome.
  • Il procure des bénéfices nerveux et musculaires importants aux patients atteints de Parkinson.
  • Il diminue les états d’anxiété et nerveux.

Comment profiter des bienfaits du cannabis ?

Tout ce qui provient du cannabis ne doit pas forcément être inhalé, en particulier si vous n’êtes pas habitué à une consommation habituelle. Mais pas de panique. Si vous avez votre propre plantation de marijuana et que vous souhaitez en tirer tous les bénéfices, nous vous présentons différentes façons de la consommer :

  • En infusion, avec des feuilles sèches.
  • Dans l’alimentation, en extrayant la graisse de la plante ou un concentré à mélanger dans vos recettes sucrées ou salées.
  • Sous forme de capsules, après l’avoir séchée et broyée.
  • Dans des pommades, en mélangeant les feuilles à une crème hydratante.
  • Dans une liqueur de cannabis.
  • En la vaporisant pour l’inhaler, mais sans la fumer.

Que faut-il pour cultiver du cannabis ?

L’envie est toujours là, et c’est la première source de motivation pour commencer à cultiver votre propre cannabis. Pour cela, vous aurez besoin d’un certain nombre d’éléments que vous pourrez trouver sur GB et qui vous permettront de posséder votre propre plantation de cannabis. Parmi les produits, vous trouverez :

  • Des graines de cannabis, comme des graines féminisées ou régulières, si vous souhaitez commencer de zéro.
  • De l’engrais, pour bien pousser.
  • Des graines à auto-floraison.
  • Des graines de CBD.
  • Des pots de fleurs.
  • Et, si vous souhaitez vous concentrer sur la culture de marijuana, nous vous conseillons vivement d’investir dans une chambre de culture, pour que la plante pousse bien et en toute sécurité.

L’avantage de cultiver votre propre cannabis ? Vous pourrez trouver tout ce qu’il vous faut chez GrowBarato, qui vous propose plus de 10 000 produits et des envois sous 24 heures, pour que vous puissiez commencer à cultiver dès maintenant.

Un basculement « symbolique » de l’opinion en faveur d’un assouplissement de la règlementation*

Pour la première fois depuis le vote de la loi de 1970, la « dépénalisation » du cannabis est soutenue par une majorité de Français : 51% y sont favorables, soit un taux d’adhésion en hausse de 8 points par rapport à la dernière mesure de l’Ifop (43% en 2017) et qui s’avère aujourd’hui deux fois supérieur à la première étude menée il y a une quarantaine d’années sur le sujet (27% en 1977). Ce passage de la barre « symbolique » des 50% semble avant tout lié à une « décrispation » progressive de l’opinion ces dix dernières années : le taux d’adhésion à la dépénalisation ayant essentiellement progressé au cours de la dernière décennie, passant de 36% en 2011 à 41% en 2016 pour finir à 51% aujourd’hui (mai 2021).

Un soutien à la dépénalisation qui n’est plus l’apanage des électeurs de gauche

Malgré l’opposition ferme du Président à cette idée, il est intéressant de noter que les électeurs macronistes y sont, eux, majoritairement favorables (à 54%), contrairement à des électorats plus à droite comme les électeurs lepenistes (40%). Plus encore, les sympathisants de gauche y sont massivement favorables, en particulier les potentiels électeurs de Jean-Luc Mélenchon (75%) et de Yannick Jadot (77%).

De manière plus générale, les sympathisants des partis les plus progressistes – France Insoumise (76%), Europe Ecologie-Les Verts (68%) ou encore Parti socialiste (63%) – sont ceux qui comptent le plus d’adeptes de la dépénalisation mais on note que leur nombre a aussi augmenté significativement (+ 14 à 15 points) chez les sympathisants LR (35%) et RN (42%) au cours des dix dernières années.

Des évolutions de perception aux ampleurs hétérogènes selon l’âge ou le sexe

Si la moitié des moins de 35 ans étaient déjà partisans de la dépénalisation en 2011, leur perception n’a guère évolué là où la progression a été spectaculaire chez les 35-49 ans (59% ; +29pts en dix ans) et les 50-64 ans (52%, +20pts). Des évolutions trop importantes pour être simplement dues au vieillissement de la population. Les seniors sont désormais la seule tranche d’âge à ne pas être majoritairement favorables à la dépénalisation du cannabis (38% de « plutôt favorable » parmi les 65 ans et plus).

LE POINT DE VUE DE GAUTIER JARDON DE L’IFOP SUR L’ENQUÊTE CANNABIS : UNE OPINION « EN MARCHE » VERS LA DEPENALISATION

« S’il est peu probable – et ceci malgré des dissonances au sein de la majorité – que la dépénalisation du cannabis soit votée d’ici la fin du quinquennat, force est de constater que l’opinion publique est aujourd’hui « mûre » aussi bien pour une légalisation de son usage que pour sa commercialisation sous le contrôle des pouvoirs publics. Cette idée d’un contrôle par l’État joue d’ailleurs sans doute beaucoup dans l’adhésion de l’opinion à un assouplissement de la législation en vigueur dans la mesure où elle est loin d’ignorer à la fois les risques pour la santé et le « coût social » global du cannabis en France (coût en vies humaines, dépenses en soins, répression, prévention). Face au constat de l’inefficacité des politiques répressives menées depuis des décennies, de plus en plus de Français – y compris situés au centre et à droite – placent désormais leurs espoirs dans la dépénalisation et la vente régulée par l’Etat pour « reprendre le contrôle » sur le cannabis : un certain pragmatisme et le souci d’efficacité des moyens de l’Etat (police, justice) contribuant sans doute à la « décrispation » d’une partie de l’opinion sur ce sujet. Dans la perspective d’une campagne présidentielle où les enjeux liés à la sécurité risquent de jouer un rôle prépondérant, il est donc probable que le débat sur l’assouplissement revienne sur le tapis tant le « risque d’opinion » sur le sujet semble moins élevé qu’il y a une dizaine d’années ». Gautier JARDON -Chargé d’étude au Pôle Politique / Actualités de l’Ifop

 

« Étude Ifop pour CBD-grams.com réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 11 au 17 mai 2021 auprès d’un échantillon de 2 025 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine. »

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