Une nouvelle vidéo du Professeur Didier Raoult va à l’encontre du discours officiel et des recommandantions sanitaires déclarant que les personnes vaccinées ou non ont les mêmes formes d’infection à la Covid-19 et une mortalité comparable aux personnes non vaccinées.

Alors que le gouvernement incite de plus en plus les français de se faire vacciner et évoque la possibilité d’imposer la vaccination à tout le personnel soignant et, peut-être, dans un certain temps à toute la population, le Professeur Raout estime que a vaccination ne sert strictement à rien. Que les gens soient vaccinés ou pas ne changerai, rien d’après lui.

Voici ce que Didier Raoult déclare dans sa nouvelle vidéo :  « Il n’y a pas de magie avec ces vaccins ARN donc il se crée sans arrêt des variants avec ce virus qui mute beaucoup et on n’est pas surpris car le taux d’efficacité réel est entre 60 et 80% en fait. On vit trop au rythme des journalistes qui balancent une information par heure et ce n’est pas comme ça que l’on travaille en médecine car il faut du calme et de la réflexion. (…)

Là où il y a le plus de victimes c’est globalement là où il y a le plus de journaux scientifiques, le plus de moyens financiers pour les soins, le plus de corruption et le plus d’industries pharmaceutiques, c’est à Londres. Cela doit nous emmener à réfléchir. Le pays le moins corrompu c’est le Danemark est c’est celui qui a le mieux gérer tout ça. (..)

Il y a pas de baguettes magiques. Chez nous, le nombre de vaccinés positifs suit précisément la courbe de l’épidémie et n’est pas différence de celle des non vaccinés. On ne peut pas pensé que tout va être géré par la vaccination telle qu’elle existe aujourd’hui. La capacité de ce vaccin a protéger la population est incomplète.

Globalement les vaccinés font les mêmes infections que les non vaccinés. On a une mortalité comparable chez les non-vaccinés et chez les vaccinés. 

Sur 559 personnes vaccinées contaminées :

57 hospitalisées (10%)

7 en réanimation (1,25%)

8 décès (1,45%)

Les gens qui meurent sont des sujets ayant, soit des facteurs de risque associés, soit une espérance de vie très faible. Mais ce n’est pas une maladie qui va tuer les enfants sauf si le virus change. On a même une baisse de la mortalité jusqu’à 60 ans donc ça ne mérite pas un tel affolement non plus.  »