Notre mode de vie et notre alimentation entraine une acidité dans notre corps ce qui provoque moult soucis de santé comme la fonte musculaire, des problèmes rénaux, l’ostéoporose,… Comment réduire l’acidité de notre organisme et retrouver un équilibre acido-basique? Réponses.
L’acidité (ou l’
alcalinité) est mesurée à l’aide d’une échelle “pH” qui va de 0 à 14. Une solution d’eau pure est considérée comme “neutre”, et son pH sera au juste milieu, soit 7. Une solution acide affiche un pH en dessous de 7, et elle est d’autant plus dangereuse qu’elle tend vers 0 ; inversement,
une solution basique ou alcaline aura un pH au-dessus de 7, et sera d’autant plus agressive qu’elle tend vers 14. En effet, au niveau biologique, les extrêmes sont aussi risqués à utiliser l’un que l’autre : plongez vos doigts dans un bain très acide ou un bain très basique et le résultat sera le même : de graves brûlures. Une piqûre, par exemple, ne perturbera pas l’organisme avec un pH idéal pour lui : 7.41, soit légèrement alcalin (= le pH du fameux “sérum” physiologique). Voici comment réduire l’acidité de notre organisme?
L’alimentation à la base de l’équilibre acido-basique
Après avoir été digérés, les aliments laissent dans le corps des acides aminés, des vitamines, des sels minéraux etc… Ce sont ces résidus alimentaires qui vont alcaliniser ou basifier le corps.
Les protéines (viandes, œufs, poissons, laitages) et les aliments salés apportent du chlore, du soufre ou du phosphore et vont globalement acidifier l’organisme.
Les fruits et les légumes apportent du magnésium, du calcium ou du potassium et sont globalement alcalinisants (1).
Mis à part le cas particulier de l’estomac (dont le pH très acide est une protection de l’organisme pour tuer de potentiels microbes ingérés), les réactions chimiques de l’organisme ne se font correctement qu’à pH neutre ou légèrement basique (l’idéal pour ces opérations biochimiques variant d’un tissu à l’autre). Ce qui ne veut pas dire qu’il faille se passer d’aliments acidifiants ! C’est l’excès en tout qui est négatif dès que l’on touche au Vivant. Si l’alcalinité ou l’acidité augmentent trop, tout est déséquilibré.
Mais alors, pourquoi se focaliser particulièrement sur les acides ?
Tout simplement parce que le mode de vie et le régime alimentaire occidental classique sont largement acidifiants (2).
Les acides irritent, enflamment, blessent et lésent les tissus lorsque leur présence devient trop importante, surtout au niveau du sang.
Le sang est le liquide le plus précieux de l’organisme. Son pH ne peut varier que dans une infime mesure, sinon apparaissent rapidement des troubles organiques et des modifications de la conscience, pouvant même aller jusqu’à la mort.
Lorsque le sang reçoit de grandes quantités d’acides, ceux-ci sont impérativement neutralisés : ce sont les systèmes biochimiques surnommés “systèmes tampons” qui s’en chargent… avec ce dont ils disposent ! Si l’organisme ne reçoit pas suffisamment d’éléments alcalinisants par l’alimentation, il va les puiser dans les tissus afin de neutraliser ces acides excédentaires.
Avec le temps, les acides s’accumulent donc dans les tissus et le terrain organique entier devient acide. Et c’est à ce moment que les problèmes de santé surviennent.
Plusieurs publications démontrent qu’un régime à l’occidental, à la longue, tend :
•
à réduire l’excrétion des citrates (utilisés comme système tampon) et augmente le niveau urinaire de calcium, donc le risque de calculs rénaux,
•
à favoriser l’ostéoporose, car les os sont les grands réservoirs de citrates et de bicarbonates, éléments à grand pouvoir tampon. En diminuant leur densité, les os se fragilisent et deviennent plus cassants(4).
Les méfaits de l’acidification excessive sont donc très importants : elle perturbe l’efficacité des réactions chimiques, agresse les tissus, les
déminéralise et favorise l’installation de diverses pathologies. Alors, comment réduire l’acidité de notre organisme?
Et la respiration dans tout cela?
Une autre façon de faire grimper le taux d’acidité est d’arrêter de respirer : le dioxyde de carbone, normalement évacué par la respiration, sera stocké – et c’est l’acidifiant le plus puissant de l’organisme ! Les poumons, à eux seuls, éliminent 90% des acides excédentaires. Car pour savoir comment réduire l’acidité de notre organisme il est aussi très important de respirer correctement. Pour améliorer ce rééquilibrage, respirer plus profondément, plus vite ou plus fort, pratiquer régulièrement une activité physique… et faire des séances de
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Un exemple avec le Bol d’air Jacquier®
Un sportif a accepté de relever son pH urinaire, pendant environ un mois sans pratiquer le Bol d’air Jacquier® puis sur une période identique, mais avec des sessions respiratoires de 6 à 9 min par jour.
Avec l’usage de l’appareil, le pH urinaire de ce sportif remonte de presque un point. Sachant que l’échelle de pH est une échelle logarithmique, cela signifie que l’organisme du sportif est environ 10 fois moins acide en utilisant le Bol d’air que sans l’utiliser.
Le pH urinaire correspond au pH du terrain (5), c’est donc une action profonde sur la désacidification du terrain qu’effectue l’appareil Bol d’air Jacquier®.
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Références :
(1) LaNutrition.fr Acidifiants ou alcalinisants ? L’indice PRAL de 80 aliments LaNutrition.fr – Mercredi 18 Mars 2015
(2) König D, Muser K, Dickhuth H-H, Berg A, Deibert P. Effect of a supplement rich in alkaline minerals on acid-base balance in humans Nutrition Journal20098:23
(3) Frassetto LA, Shi L, Schloetter M, Sebastian A, Remer T. Established dietary estimates of net acid production do not predict measured net acid excretion in patients with Type 2 diabetes on Paleolithic-Hunter-Gatherer-type diets. Eur J Clin Nutr. 2013 Sep;67(9):899-903.
(4) Tucker KL, Hannan MT, Kiel DP. The acid-base hypothesis: diet and bone in the FraminghamOsteoporosis Study. Eur J Nutr. 2001 Oct;40(5):231-7.
S.C.