« La Seconde Main Solidaire », une initiative portée par Solidarité Femmes, mobilise 30 influenceurs pour briser l’isolement des femmes victimes de violences. Un message dans chaque colis vendu peut sauver une vie. À vous d’agir !
Les violences faites aux femmes, un problème majeur en France, nécessitent des actions concrètes comme l’initiative « La Seconde Main Solidaire » pour briser l’isolement et apporter un soutien essentiel. Cette fin d’année, une initiative lumineuse émerge pour offrir une main tendue et un souffle d’espoir : « La Seconde Main Solidaire ». Portée par la Fédération nationale Solidarité Femmes (FNSF), cette opération innovante transforme les plateformes de seconde main en un espace d’entraide. Un simple message glissé dans une poche de vêtement devient un outil puissant pour informer, soutenir, et encourager les femmes à briser le silence.
« La Seconde Main Solidaire » : un geste simple pour un soutien essentiel
L’initiative est soutenue par 30 influenceurs et influenceuses engagés, mais aussi par des partenaires clés comme l’agence Glory Paris. Ensemble, ils se mobilisent pour faire écho à cet appel à la solidarité.
Un appel à la sororité, une période-clé pour agir
Du 13 décembre 2024 au 30 janvier 2025, « La Seconde Main Solidaire » invite les femmes actives sur les plateformes de revente de vêtements à glisser un message d’espoir dans chaque article expédié. Ce message, disponible gratuitement sur le site solidaritéfemmes.org, rappelle l’existence du 3919, une ligne d’écoute gratuite, confidentielle, et accessible 24h/24 partout en France.
Pourquoi cette période est-elle stratégique ?
- La fin d’année est marquée par un pic d’activité sur les plateformes de seconde main, avec l’achat de cadeaux ou la revente post-Noël.
- Des milliers de colis circulent chaque jour, créant une opportunité unique d’étendre la portée de cet acte solidaire.
Un QR code pour sauver des vies
Chaque message contient un QR code discret, renvoyant vers des ressources précieuses pour les victimes : conseils, contacts, et solutions. Par ce geste, chaque acheteuse ou vendeuse peut devenir porteuse d’espoir. Un simple vêtement peut ainsi ouvrir une porte vers l’aide et la reconstruction.
Les influenceurs, amplificateurs d’espoir
L’initiative est déjà soutenue par 30 influenceurs et influenceuses emblématiques, dont Bilal Hassani, Cindy Bruna, Maty Mahera, et Zoé Pataki. Chacun s’engage à mobiliser sa communauté à travers des contenus engagés :
- Publications Instagram avec le hashtag #LaSecondeMainSolidaire3919
- Vidéos incitant leurs abonnés à insérer eux aussi ces messages dans leurs colis.
L’agence Glory Paris joue un rôle clé en orchestrant cette campagne et en valorisant le message de la Fédération nationale Solidarité Femmes.
La Fédération nationale Solidarité Femmes : une mission vitale
Depuis plus de 30 ans, la Fédération nationale Solidarité Femmes (FNSF) lutte pour défendre les droits des femmes et leurs enfants face aux violences. Avec plus de 80 associations locales, elle propose des services essentiels : accueil, accompagnement juridique et psychologique, hébergement sécurisé.
Le 3919, ligne d’écoute qu’elle gère depuis 1992, est une bouée de sauvetage pour près de 100 000 femmes chaque année. Accessible en plus de 200 langues et aux personnes sourdes ou malentendantes, cette ligne représente bien plus qu’un numéro : une promesse d’écoute et d’espoir.
Comment participer ?
Vous aussi, devenez acteur ou actrice de ce mouvement solidaire. Rien de plus simple :
- Rendez-vous sur solidaritéfemmes.org pour télécharger les messages d’espoir.
- Glissez un message dans chaque vêtement vendu.
- Parlez-en autour de vous et partagez l’initiative sur vos réseaux sociaux.
Un geste, une révolution silencieuse
En cette fin d’année, la solidarité passe par des gestes simples mais porteurs d’un grand impact. Avec « La Seconde Main Solidaire », chaque vêtement, chaque colis, peut devenir une opportunité de changer des vies. Engagez-vous, partagez, et faites partie de ce mouvement qui redonne espoir à celles qui en ont le plus besoin.
