Vous avez de l’arthrose, de l’arthrite, une maladie auto-immune,… qui vous font terriblement souffrir? Avez-vous déjà tester la thérapie magnétique? Les aimants pour soulager les douleurs s’avèrent être très efficaces. Explications.

La thérapie magnétique est de plus en plus en reconnues pour ses bienfaits pour la santé. En effet, les aimants pour soulager les douleurs chroniques ou non ont de grandes vertus!

En quoi consiste la thérapie magnétique?

Consistant à appliquer des aimants en continu sur la zone à traiter, la thérapie magnétique rencontre un fort succès ces dernières années auprès du corps médical en raison de son efficacité, de sa sécurité d’emploi et de son action positive sur les douleurs chroniques :

  • les aimants réduisent l’action des fibres C des nerfs périphériques, diminuant alors leur transmission au cerveau des messages de douleur ;
  • les aimants produisent un très faible courant électrique (non perceptible par l’homme) sous la peau de la zone où ils sont appliqués. Le cerveau repère ce signal «agresseur» et y répond en produisant des endorphines (les plus forts antidouleurs naturels) qu’il dirige vers la zone du signal électromagnétique  ;
  • avec l’IRM, il a été prouvé qu’une zone malade voit son champ magnétique perturbé. Les aimants permettent de rétablir le champ magnétique d’origine de la zone lésée ce qui contribue à un retour à la normale de la zone malade, stabilisant une lésion voire, la guérissant.
  • Enfin, en terme de tolérance, la thérapie magnétique est exceptionnelle : les ondes magnétiques en champ continu n’ont pas d’effets nocifs, il n’y a pas d’irradiation comme avec les rayons X, pas de risques de brûlures comme avec l’électrothérapie.

Focus sur l’arthrose du genou et la thérapie magnétique

En matière de douleur, il est une pathologie qui devient un véritable problème de santé publique tant par le nombre de patients qu’elle touche que par la non prise en charge des soins traditionnels (médicamenteux et chirurgicaux) par la Sécurité Sociale : l’arthrose de genou.

Touchant les articulations, l’arthrose provoque douleurs et déformation de ces dernières, raideurs et difficultés à se mouvoir. En 2050 on estime que 315 millions d’êtres humains de plus de 60 ans seront touchés par cette maladie dont 105 millions présenteront un handicap sévère. Partie du corps extrêmement sollicitée, le genou est naturellement sujet à cette pathologie (alors nommée gonarthrose), phénomène amplifié par le vieillissement de la population et l’augmentation de l’obésité.

Pour soulager les patients, deux méthodes étaient jusqu’à présent préconisées :

  • la chirurgie : à titre indicatif, aux États-Unis, en 2009, les chirurgiens ont effectué 686 000 arthroplasties du genou et les projections prédisent l’implantation de 1 520 000 prothèses en 2020 et 3 480 000 en 2030.
  • les traitements médicamenteux : or, en France, la Sécurité Sociale ne rembourse ni les anti-arthrosiques symptomatiques d’action lente (AASAL ou SYSADOA), ni les acides hyaluroniques, estimant que le service médical rendu n’est pas suffisant pour justifier un remboursement par la collectivité nationale. De plus, l’utilisation d’anti-inflammatoires est fréquemment limitée par des effets gastro-intestinaux, cardiaques et rénaux indésirables, en particulier chez les personnes âgées déjà sujettes à différents traitements.

    « Avec de tels éléments, toute approche non chirurgicale et non médicamenteuse mérite une évaluation minutieuse.  »

Face à ce fléau touchant des millions de malades et en croissance constante, Auris a lancé une vaste étude : GONALGIS. Porté par le corps médical, ce travail s’est attaché à étudier d’octobre 2018 à avril 2019 des patients souffrant de gonarthrose, avant, pendant et après le port d’une  orthèse  magnéto-active  (genouillère  composée d’aimants thérapeutiques).

Une vaste étude clinique pour l’effet des aimants pour soulager l’arthrose du genou

A partir du 15 octobre 2018, l’étude est mise en place dans deux centres de rhumatologie auprès des docteurs Jean-François MARC à Roanne (42) et Jean-Luc RENEVIER à Mantes-La-Jolie (78). De mi-octobre à fin janvier 2019, 30 patients sont intégrés dans l’étude (15 par centre), 20 femmes et 10 hommes âgés en moyenne de 66,5 ans. Les médecins reporteront les données sur la douleur, l’utilisation de l’orthèse GONOFLEX (genouillère dotée d’aimants) et la prise de traitements médicamenteux de mi-janvier à mi-avril (3 mois).

Les objectifs fixés par Auris dans le cadre de cette étude sont :

1/ évaluer l’impact du dispositif médical GONOFLEX chez des patients souffrant d’une gonarthrose à l’aide du WOMAC A1 (Western Ontario and McMaster University Osteoarthritis Index) mesurant la douleur provoquée par l’arthrose sur les membres inférieurs. L’objectif principal sera atteint si l’amélioration de cet index est supérieure ou égale à 2 points.

2/ évaluer la diminution de la prise d’antalgiques et/ou AINS.

3/ vérifier le rapport temps de portage prescrit/ temps de portage réel estimé et classer la rapidité d’action du GONOFLEX.

Les mesures prises sur les patients à l’inclusion, soit, en début d’étude, révèlent des seuils de douleurs relativement proches dans les deux centres : WOMAC A1 de 7,25 en moyenne (7.32 de moyenne centre 1, Dr Jean-Luc Renevier / 7.19 de moyenne centre 2, Dr Jean-François Marc).

L’amélioration a été très significative avec une progression mensuelle mesurée atteignant une moyenne au premier mois de 3.34 pour les patients du centre 1 et de 2.95 pour les patients du centre 2, soit en global, WO-MAC A1 au mois 1 = 3.14.

La régression douloureuse se confirme avec un WOMAC A1 = 2.00 au deuxième mois et avec un WOMAC A1 = 1.03 au troisième mois.

Les résultats montrent une progression largement supérieure aux 2 points attendus comme objectif principal soit une moyenne globale de 6,11 d’amélioration.

Une réduction des traitements médicamenteux

Comme prévu par le cadre de l’étude GONALGIS, une surveillance du traitement antalgique et anti inflammatoire a été réalisée au troisième mois.

Celle-ci a démontré chez une majorité de patients, une baisse modérée à importante des traitements, validant ainsi l’objectif secondaire de l’étude. Par conséquent, en plus de diminuer la douleur chez les patients, le port de GONOFLEX conduit à améliorer leur santé en diminuant les quantités de molécules ingérées mais aussi, à réduire les coûts pour la sécurité sociale et le patient lui-même.

Chez les patients n’ayant pas réduit leur traitement, la cause réside dans la prise de ces médicaments pour soulager des douleurs multiples et indépendantes de la gonarthrose. En effet et pour rappel, les aimants thérapeutiques restent des traitements à visée locale.

Une étude qui surpasse les espoirs escomptés

L’étude GONALGIS a démontré un effet antalgique puissant, parfois très rapide (en quelques jours seulement) mais habituellement rapide (en 1 mois) et pour quelques patients, lent (à 2 mois maximum) de cette orthèse magnéto-active chez des sujets atteints d’arthrose sévère du genou. Les aimants pour soulager les douleurs ont été extraordinaires.

L’effet positif de la thérapie magnétique sur la douleur a permis de réduire très significativement la consommation d’antalgiques confirmant l’atteinte des deux objectifs primaire et secondaire fixés par Auris.

L’étude a également permis l’observation de l’appropriation par les patients du temps de portage, ce qui fut riche d’enseignements sur les effets de cette orthèse GONOFLEX et de son bon usage. En définitive et au regard des différents retours patients consignés par les médecins, il faudrait porter l’orthèse 12 h par jour (ou par nuit) jusqu’à obtention d’un effet antalgique significatif autorisant alors le portage en mode intermittent et ajusté à la charge de travail attendue, avec un temps minimum de portage de 4 heures consécutives par jour « portée ».

 

La V2 de GONOFLEX est disponible 0 la vente au prix public indicatif de 59,90 € TTC, sur le site internet et dans les boutiques Auris ainsi qu’auprès des revendeurs attitrés.