Les infections urogénitales (cystite, vaginose bactérienne, candidose vaginale) sont fréquentes chez la femme, dont l’anatomie peut parfois fragiliser les flores urinaire et vaginale.  Le microbiote uro-vaginal, majoritairement constitué de lactobacilles, protège en temps normal la sphère intime des agents pathogènes (bactéries, champignons, virus…), mais peut être sensible aux variations de composition… du microbiote intestinal. Voici les solutions.

Souvent récurrentes, les infections urogénitales altèrent le confort quotidien et la vie sexuelle des femmes. Elles ne sont toutefois aucunement une fatalité : un traitement adapté et des mesures hygiéno-diététiques simples permettent de soigner rapidement les symptômes et de réduire le risque de récidive.

La cystite

1 femme sur 2 concernée par la cystite au cours de sa vie3

Infection mono-bactérienne localisée à la vessie, la cystite est une pathologie essentiellement féminine et très fréquente : une femme sur trois connaît un épisode avant ses 24 ans, une sur deux avant ses 35 ans, et jusqu’à 7 sur 10 une fois dans sa vie (dont 30 % de manière récurrente4 ). Plus de 100 millions de nouveaux cas sont ainsi recensés annuellement dans le monde, avec 2 pics de fréquence observés : au début de l’activité sexuelle et en période post-ménopausique1.

En cause : une contamination depuis le tube digestif

Contrairement aux anciennes croyances, l’urine n’est pas stérile. C’est un milieu qui abrite un microbiote spécifique, certes pauvre, mais susceptible de comporter plusieurs centaines d’espèces bactériennes différentes5.

Classiquement, une cystite est causée par une colonisation de la vessie par Escherichia coli (75 à 90 % des cas6). Cette bactérie est présente dans le tube digestif et la contamination se fait depuis la région génito-anale, par mécanisme ascendant : le germe remonte jusqu’à la vessie avant de s’y multiplier, provoquant une inflammation de la paroi. Cette « invasion » se produit tout particulièrement en cas d’un déséquilibre du microbiote intestinal favorisant la croissance d’E. coli : diarrhée, constipation, intestin perméable…

La surpopulation bactérienne entraine des phénomènes de contamination de proximité, avec extension à la sphère vaginale, puis à l’urètre, puis à la vessie où la dysbiose se traduit par une infection, la cystite7.

Quels sont les facteurs de risque ?

Divers facteurs peuvent intervenir et se cumuler dans la survenue d’une cystite. Certains sont physiologiques, tels un prolapsus génital (« descente d’organes »), une faible longueur de l’urètre ou une incontinence. D’autres renvoient à des situations spécifiques, comme la grossesse qui entraine une compression de la vessie, ou un déficit en œstrogènes lié à la ménopause. Les rapports sexuels, surtout avec utilisation de spermicides, accentuent également le risque de développer une infection urinaire8.

Les symptômes d’une cystite peuvent apparaître progressivement ou de façon brutale. Les plus fréquents sont :

  • brûlures ou douleurs en urinant ;
  • sensation de poids ou douleurs dans le bas du ventre ;
  • besoins pressants d’uriner (impression de ne pas pouvoir se retenir) ;
  • besoins d’uriner très souvent sans pouvoir évacuer beaucoup d’urine (pollakiurie) ;
  • urines troubles, dégageant une odeur inhabituelle et contenant éventuellement des traces de sang4.

Des bandelettes urinaires et un examen cytobactériologique des urines (ECBU) sont utilisés par le médecin traitant pour confirmer le diagnostic et orienter la prise en charge de ce type d’infection.

Infections vulvovaginales – vaginose bactérienne et candidose vaginale

Les infections  vulvovaginales  sont  des  pathologies  très  fréquentes9 : 2 femmes sur 3 souffrent régulièrement de symptômes locaux inconfortables ou douloureux10, le plus souvent dus à une vaginose bactérienne ou à une candidose vaginale :

La vaginose bactérienne provient d’une multiplication anormale de bactéries anaérobies (Gardnerella vaginalis, Mobiluncus curtisii, Mobiluncus mulieris, Mycoplasma hominis, Bacteroides spp, Prevotella spp…)11 . Elle affecte environ 20 % des Françaises et représente l’infection intime la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer12.

La candidose vulvovaginale est une mycose touchant la vulve ou le vagin, suite à une prolifération anormale d’une levure du genre Candida (C. albicans dans 80 % des cas)13. Elle est considérée comme la seconde pathologie infectieuse vaginale la plus commune : 40 % des femmes seraient concernées au moins une fois dans leur vie et 5 à 10 % souffriraient de formes récurrentes14. Selon les pays, la durée moyenne des épisodes varie de 6,5 à 7,5 jours et environ 50 % des femmes touchées rapportent un effet négatif sur leur vie quotidienne et professionnelle avec un taux d’absentéisme moyen en France de 45 heures par an15.

Microbiote vaginal : un protecteur fragile, menacé par la flore intestinale

L’écologie vaginale d’une femme comporte un système bactérien évoluant en fonction des différents stades de la vie ainsi que de facteurs endogènes et exogènes. Ce microbiote joue un rôle majeur dans la protection de l’équilibre physiologique de l’appareil génital féminin16, grâce notamment à ses bactéries dominantes, les lactobacilles : leur pouvoir acidifiant maintient le pH vaginal entre 3,8 et 4,5, inhibant ainsi la multiplication de la plupart des pathogènes17. Une altération de ce microbiote protecteur peut favoriser la survenue d’infections.

Comme pour les cystites, les dysbioses vaginales ont généralement pour origine des perturbations de la flore intestinale17. Des bactéries pathogènes migrent jusqu’à l’espace intime et se multiplient aux dépends des lactobacilles. Un cercle vicieux s’enclenche alors : le milieu vaginal perd progressivement son acidité et le pH ne joue plus son rôle protecteur, facilitant la multiplication des pathogènes17.

Quels sont les facteurs de risque ?

Les facteurs de risque les plus courants sont bien identifiés. Il peut s’agir de pathologies comme le diabète ou un déficit immunitaire, mais aussi de la prise de médicaments spécifiques (antibiotiques, corticoïdes…). D’autres facteurs physiologiques interviennent parfois, tel le moment du cycle menstruel, la grossesse ou la ménopause. Certains facteurs externes sont également en cause : stress, hygiène inadaptée (insuffisante ou excessive), port de vêtements trop serrés ou en matière synthétique8,18

Les symptômes caractéristiques de vaginose bactérienne sont les suivants9 :

  • pertes blanches ;
  • écoulement (non épais) homogène gris-blanchâtre ; odeur désagréable ;
  • démangeaison ; sensations de brûlure.

À noter : près de 50 % des cas de vaginoses bactériennes sont asymptomatiques.

 

Les symptômes caractéristiques de la candidose vulvovaginale sont les suivants8, 9 :

  • pertes blanches épaisses (écoulement vaginal, blanc, épais, semblable à du lait caillé) ;
  • démangeaisons ou brûlures ;
  • écoulement (non épais) homogène gris-blanchâtre ; odeur désagréable ;
  • démangeaison ; sensations de brûlure.
  • inflammation de la vulve et du vagin avec rougeurs ; brûlures à la miction.

Le médecin traitant pratique un examen gynécologique pour confirmer le diagnostic. Dans certains cas, il prescrit un prélèvement vaginal pour déterminer quel est le germe en cause (levure, bactérie…) et ainsi adapter le traitement.

Soigner les infections urogénitales prévenir les récidives

Les infections urogénitales sont des affections bénignes, mais qui impactent la qualité de vie des femmes au quotidien, surtout lorsqu’elles ont tendance à récidiver. Une prise en charge ciblée et des règles d’hygiène simples permettent néanmoins de gérer efficacement les épisodes, qu’il s’agisse de contamination bactérienne ou fongique.

Un traitement par des médicaments…

En France, les recommandations sanitaires de prise en charge des cystites simples et des vaginoses bactériennes reposent sur des antibiothérapies administrées par voie orale. Des approches locales peuvent également être proposées pour les vaginoses, sous forme de crème, ovule médicamenteux, capsule vaginale ou comprimé gynécologique19.

Concernant les candidoses, le traitement usuel est un antifongique local (généralement de la classe des imidazolés), sous forme d’ovule médicamenteux ou de crème. Des comprimés par voie orale peuvent être prescrits dans les cas les plus compliqués ou les récidives10.

Des règles d’hygiène intimes

Tout traitement anti-infectieux doit se doubler d’une bonne hygiène intime, de façon à normaliser le pH vaginal et faciliter la correction de la dysbiose. Les principaux conseils consistent à réaliser une toilette quotidienne en employant un savon à pH physiologique, tout en évitant les douches vaginales et le déodorant intime.

Prévention : entre règles hygiéno-diététiques…

Pour éviter une primo-infection ou une récidive, une toilette intime quotidienne, « non agressive » est là encore primordiale, associée au port de sous-vêtements en coton, à contrario des tenues trop serrées. Limiter le stress et le tabac participe également aux mesures de prévention20.

La prévention de la cystite demande aussi de boire abondamment et d’uriner régulièrement tout au long de la journée, en réalisant un essuyage d’avant en arrière pour ne pas favoriser le contact des germes fécaux et de l’urètre. Il est de surcroît conseillé d’aller uriner après chaque rapport sexuel et de réguler son transit intestinal21.

…et protection des microbiotes

La préservation de l’équilibre des microbiotes urinaire et vaginal s’envisage pour sa part sous forme de probiotiques apportés dans l’alimentation ou par des produits contenant des souches microbiotiques, qui grâce à leur apport rende le microbiote capable d’induire un pH vaginal acide et de maintenir l’écosystème local de façon à limiter le développement de bactéries pathogènes17.

Souches microbiotiques – les lactobacilles

Les lactobacilles au service de l’intimité féminine23

Certaines souches microbiotiques représentent une option intéressante pour accompagner les traitements médicamenteux dans la lutte contre les infections urogénitales, ou améliorer la prévention des récidives23. Les souches privilégiées en pratique gynécologique sont des lactobacilles, pierre angulaire des mécanismes de défense vis-à-vis des infections génitales23.

Les lactobacilles vaginaux ont trois fonctions principales :

  • adhérer au mucus pour former une barrière physique, permettant d’éviter la colonisation par d’autres pathogènes,
  • produire de l’acide lactique (maintenant un pH < 4), du peroxyde d’hydrogène H2O2 ou encore des bactériocines,
  • restaurer l’écosystème vaginal, limitant ainsi le développement de bactéries pathogènes.

Une efficacité scientifiquement étudiée

Des travaux de recherches internationaux ont démontré la sécurité d’utilisation et l’activité antimicrobienne de plusieurs souches de lactobacilles à l’encontre des germes responsables des vaginoses bactériennes et des candidoses vaginales23 . Les principales souches actuellement privilégiées par les chercheurs sont 14. crispatus ; L. gasseri ; L. jensenii, L. rhamnosus et L. plantarum14. Leur utilisation a notamment permis une amélioration rapide de la qualité du microbiote dans une étude réalisée sur des femmes présentant un déséquilibre important de la flore vaginale23,24,25.

En accompagnement d’un traitement médicamenteux, ils ont également permis de réduire significativement les symptômes infectieux par comparaison à un placebo, dans une autre étude réalisée chez des femmes traitées par antibiothérapie pour une vaginose bactérienne25.

Souches microbiotiques – les lactobacilles

L’administration d’un mélange de L. rhamnosus, L. acidophilus et Streptococcus thermophilus administré pendant 21 jours a été associés à une réduction des taux de récidive de vaginose bactérienne chez les femmes ayant reçu une prophylaxie probiotique26.

Les patientes atteintes de vaginose bactérienne, traitées pendant 90 jours par un comprimé vaginal contenant L. rhamnosus, ont montré une amélioration significative de leurs symptômes par rapport au groupe témoin27.

en accompagnement de la prise en charge des cystites

Concernant les cystites, l’action inhibitrice de certains lactobacilles (L. rhamnosus et L. plantarum) vis-à-vis d’E. coli a été démontrée. En limitant la croissance du pathogène et en empêchant la formation de biofilm facilitant son adhésion, les lactobacilles réduisent les risques de contamination urinaire et de développement d’une cystite28.

Une étude clinique a montré que l’utilisation d’un mélange de L. casei v. rhamnosus GR-1 et L. fermentum B-54 permettrait d’obtenir une réduction significative de la fréquence des infections urinaires29.

Dans une autre étude, L. rhamnosus GR-1 utilisée par voie locale a permis d’inhiber le développement d’une infection des voies urinaires chez 73% des patientes29.

Ces quelques résultats illustrent la dynamique de recherche scientifique et mettent en exergue le potentiel des souches microbiotiques dans la préservation de l’intime féminin.

 

Sources :

  1. https://www.ameli.fr/paris/assure/sante/themes/vaginite/definition-symptomes-facteurs-favorisants. Consulté le 13/07/2021
  2. https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/microbiote-intestinal-flore-intestinale. Consulté le 13/07/2021
  3. https://www.ameli.fr/paris/assure/sante/themes/cystite/reconnaitre-cystite. Consulté le 13/07/2021
  4. Abou Heidar NF, et Management of urinary tract infection in women: A practical approach for everyday practice. Urol Ann. 2019 Oct-Dec;11(4):339-346.
  5. Morand A et al. Human Bacterial Repertoire of the Urinary Tract: a Potential Paradigm Shift. J Clin Microbiol. 2019 Feb 27;57(3). pii: e00675-18.
  6. Russo, J. Johnson. Medical and economic impact of extraintestinal infections due to Escherichia coli: focus on an increasingly important endemic problem. Microbes and Infection, Volume 5, Issue 5, April 2003.
  7. https://www.ameli.fr/haute-garonne/assure/sante/themes/cystite/reconnaitre-cystit Consulté le 10 mars 2021
  8. https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/cystite/reconnaitre-cystite. 04 janvier Consulté le 10 mars 2021.
  9. Schmidt H, Hansen Bacterial vaginosis in a family practice population. Acta Obstet Gynecol Scand 2000 ; 79 : 999-1005.
  10. Bohbot, Infections génitales basses. La revue du praticien médecine générale 2007. Tome 21 n°782/783, pp.831-833.
  11. La vaginose bactérienne et ses conséquences en santé J.C. Lefèvre. Edimark. https://www.edimark.fr/Front/frontpost/getfiles/1428.pdf
  12. Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF).
  13. http://campus.cerimes.fr/parasitologie/enseignement/candidoses/site/html/cours.pdf
  14. Goncalves B et Vulvovaginal candidiasis: Epidemiology, microbiology and risk factors. Critical Reviews in Microbiology. 2015 42(6):905–927.
  15. Aballéa, F. Guelfucci, J. Wagner, et al. Subjective health status and health-related quality of life among women with Recurrent Vulvovaginal Candidosis (RVVC) in Europe and the USA. Health Qual Life Outcomes. 2013 Oct 11;11:169. doi: 10.1186/1477-7525-11-169.
  16. Lepargneur, P. & Rousseau, V. (2002) Protective role of the Doderlein flora. J. Gynecol. Obstet. Biol. Reprod. (Paris) 31: 485-494.
  17. Lamont RF, Sobel JD, Akins RA, Hassan SS, Chaiworapongsa T, Kusanovic JP, Romero The vaginal microbiome: new information about genital tract flora using molecular based techniques. BJOG. 2011 Apr;118(5):533-49. doi: 10.1111/j.1471-0528.2010.02840.x. Epub 2011 Jan 20. PMID: 21251190; PMCID: PMC3055920
  18. https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/vaginite/definition-symptomes-facteurs-favorisants#text_3669. Consulté le 30/07/2021
  19. https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/vaginite/consultation-traitement.Consulté le 10 mars 2021
  20. https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/vaginite/prevention. Consulté le 30/07/2021
  21. https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/cystite/prevention-recidives. Consulté le 30/07/2021
  22. https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01962203/document
  23. Domig, H. Kiss, et al. Strategies for the evaluation and selection of potential vaginal probiotics from human sources: an exemplary study. Beneficial microbes 2014, Sep;5(3):263-72.
  24. Kaufmann, K. Domig, et al. L. Ability of an orally administered lactobacilli preparation to improve the quality of the neovaginal microflora in male to female transsexual women. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol 2014.
  25. Laue, et al. Effect of a yoghurt drink containing Lactobacillus strains on bacterial vaginosis in women–a double-blind, randomised, controlled clinical pilot trial. Beneficial microbes, 2017. 09 novembre 2016. 60 male to female transsexual women with penile linked neovagina were randomised into two groups. Women in the intervention group (n=33) received oral probiotic capsules and women in the control group (n=27) placebo in for 7 days. Swabs of the neovagina were taken before and after the therapy.
  26. Ya W, Reifer C, Miller LE. Efficacy of vaginal probiotic capsules for recurrent bacterial vaginosis: a double-blind, randomized, placebocontrolled study. Am J Obstet Gynecol 2010. Etude clinique réalisé sur 120 femmes en bonnes santé avec des antécédents de récidive de vaginose bactérienne ayant reçu soit une capsule contenant 8 milliard UFC de Lactobacillus rhamnosus, Lacidophilus et Streptococcus thermophilus (n=58) soit une capsule de placebo (n=62) pendant 7 jours puis 7 jour d’arrêt et reprise de 7
  27. Marcone V, Calzolari E, Bertini Effectiveness of vaginal administration of Lactobacillus rhamnosus following conventional metronidazole therapy: how to lower the rate of bacterial vaginosis recurrences. NewMicrobiol 2008. Etude clinique randomisée sur 84 femmes atteintes de vaginose bactérienne ayant reçu soit 500 mg de matronidazole par voie orale 2x par jours pendant 7 jours ou un comprimé vaginal contenant des lactobacilles lyophilisés rhamnosus une fois par semaine avant le coucher pendant 2 mois, traitement initié une semaine après dernière prise d’antibiotique.
  28. Mogna, , Del Piano, M., Deidda, F., Nicola, S., Soattini, L., Debiaggi, R., … & Mogna, G. (2012). Assessment of the in vitro inhibitory activity of specific probiotic bacteria against different Escherichia coli strains. Journal of clinical gastroenterology, 46, S29-S32.
  29. Nomoto, (2005). Prevention of infections by probiotics. Journal of bioscience and bioengineering, 100(6), 583-592

Contre les cystites

SYMBIOSYS® Cytalia à base de souches microbiotiques de lactobacilles et de canneberge.

SYMBIOSYS ® Cytalia est un complément alimentaire avec édulcorant destiné à l’adulte.
Il contient 2 souches microbiotiques Lactobacillus rhamnosus LR06 et Lactobacillus
plantarum LP02. Ces souches microbiotiques sont protégées de l’acidité gastriques par un procédé de micro-encapsulation.
Chaque stick de SYMBIOSYS ® Cytalia contient 2 milliards de bactéries et 500 mg
de canneberge.

 

SYMBIOSYS® Cytalia, se prend au rythme d’un stick de poudre orodispersible chaque matin pendant au moins un mois. La poudre orodispersible du stick se dissout immédiatement en bouche pour une prise rapide et sans eau. Une prise quotidienne régulière est recommandée. Il est possible d’ajouter ponctuellement une seconde prise le soir au coucher.

 

Disponible sur le eshop SYMBIOSYS® (www.symbiosys.fr), en pharmacie, SYMBIOSYS® Cytalia, est commercialisé par boîte de 30 sticks orodispersibles.

19,90€

Contre les vaginoses

SYMBIOSYS® Intimalia à base de souches microbiotiques de lactobacilles et de biotine

SYMBIOSYS® Intimalia est un complément alimentaire destiné à la femme adulte. Il contient 4 souches microbiotiques de lactobacilles : L. crispatus LbV88, L. rhamnosus LbV96, L. gasseri LbV150N, L. jensenii LbV116. SYMBIOSYS ® Intimalia contient également de la biotine qui contribue au maintien de muqueuses normales.

Une gélule de SYMBIOSYS ® Intimalia apporte 5 milliards de cellules de lactobacilles.

SYMBIOSYS® Intimalia se prend au rythme d’une gélule chaque matin. A avaler avec un verre d’eau à jeun ou non.

Il est conseillé de prendre SYMBIOSYS® Intimalia quotidiennement, pendant au moins 30 jours

Disponible sur le eshop SYMBIOSYS ® (www.symbiosys.fr), en pharmacie, SYMBIOSYS ® Intimalia, est commercialisé par boîte de 30 gélules.

22,50€