VACCIN

En l’espace de 7 ans, près de 2 millions de jeunes femmes âgées de 13 à 26 ans ont reçu au moins une dose de Gardasil, remboursé à hauteur de 65% par la Sécurité sociale… alors même que la preuve de son efficacité n’a toujours pas été donnée. Pire que des vies de jeunes femmes ont été gravement malades.

D’après moult études porte à croire que les études cliniques du Gardasil n’ont pas été réalisées dans les règles de l’art. Normalement, pour évaluer son innocuité, on compare un traitement à un placebo. Or, dans le cas de ce vaccin, le « placebo » utilisé n’était pas autre chose que l’adjuvant du vaccin. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a d’ailleurs inscrit le Gardasil sur sa liste des médicaments sous surveillance après la crise du Mediator.

Aujourd’hui, en Europe, de nombreuses jeunes femmes, âgées de 18 à 24 ans, sans antécédents médicaux, sont affectées de maladies très invalidantes concomitantes à la vaccination au Garadsil

Nombreux aussi sont les lanceurs d’alertes, chercheurs, médecins et professionnels de santé qui s’opposent au principe de l’objectif inscrit dans le Plan Cancer annoncé par François Hollande le 4 février dernier, qui est de doubler la « couverture vaccinale » contre le Gardasil pour lutter contre le cancer du col de l’utérus d’ici 2021. Parce que :

le cancer du col ne constitue plus en France un problème de santé publique (1,7% des cancers),

le vaccin n’est efficace que contre les infections causées par une partie des souches du virus : Le Gardasil ne contient les antigènes que des souches de type 6, 11, 16 et 18 et l’autre vaccin, le Cervarix, de 2 souches. Or, les infections par les souches 16 et 18, érigées en épouvantails par les industriels, semblent plus rares en Europe. A noter que plus de 100 souches existent, dont 18 considérées à haut risque oncogène.

– il n’existe, à ce jour, aucune preuve d’efficacité de ce vaccin contre l’apparition d’un cancer du col ! 20 ans de recul seraient encore nécessaires pour obtenir ces preuves, or, la durée de la protection vaccinale est limitée dans le temps.

la présence d’aluminium comme adjuvant dans le Gardasil est très problématique, comme le montreront Chris Shaw, Lucija Tomljenovic, Pr Authier, Gherardi. L’aluminium migre dans l’organisme et atteint le cerveau, où il s’accumule. Il y a de nombreux effets indésirables constatés :

* décès,

* convulsions,

* syncopes,

* syndromes de Guillain-Barré,

* myélites transverses,

* paralysies faciale,

* syndromes de fatigue chronique,

* maladies auto-immunes,

* embolies pulmonaires,

* myofasciites à macrophages,

* pancréatites

l’efficacité du frottis classique pour dépister le cancer du col.

– face à ces risques, l’Autriche a refusé d’inclure ces vaccins dans le calendrier vaccinal, le Japon ne recommande plus cette vaccination, de nombreuses contestations existent dans d’autres pays.

Les vaccins proposés atteignent des prix record : la dose de Gardasil coûte 123,44 euros, soit 370,32 euros pour les 3 injections nécessaires. Ce coût pourrait être majoré, si des rappels s’avéraient nécessaires. En effet, on ignore la durée de la protection de cette vaccination initiale. La période « de rattrapage » pourrait générer un coût pour la sécurité sociale de 926 M° d’euros. Les années suivantes, le coût annuel serait de 148 M° d’euros.

-Une campagne de communication agressive et indécente est engagée : Des campagnes de lobbying et de publicité agressives sont menées par les laboratoires, qui jouent sur les peurs et la culpabilité, en particulier des mères : “Protéger sa fille, c’est ce qu’il y a de plus naturel pour une mère”. L’une de ces publicités a d’ailleurs été interdite par l’Agence du Médicament en août 2010 pour « manque d’objectivité », pouvant « induire le prescripteur en erreur ».