Le sommeil joue un rôle primordial non seulement pour notre santé physique, mais également pour notre équilibre mental. Mais quel rôle joue vraiment le sommeil sur la santé mentale ? Pourquoi un repos nocturne de qualité est essentiel pour notre bien-être psychologique ?

Le sommeil est souvent considéré comme un simple besoin biologique, une pause que notre corps prend chaque nuit. Mais sa véritable importance va bien au-delà de la simple récupération physique. Le sommeil a un impact direct et marqué sur notre santé mentale. Comment le sommeil influence-t-il notre bien-être psychologique ? Qu’engendre un déficit de repos nocturne ? Et comment pouvons-nous optimiser nos nuits pour un sommeil réparateur ? Alors plongeons-nous vite dans les bras de Morphée !

Les bénéfices du sommeil pour la santé mentale

Dormir s’avère aussi vital que se nourrir, s’hydrater et respirer. C’est un processus qui non seulement nous maintient en vie, mais qui offre également à notre cerveau l’occasion de consolider les informations de la journée. Il permet aussi à notre système immunitaire d’opérer efficacement, produisant les hormones essentielles au repos et à la régénération. Grâce à un sommeil adéquat, nous sommes revigorés à l’aube d’un nouveau jour.

Hélas, selon une étude récente d’Emma en collaboration avec l’IFOP*, 32% des Français ne dorment que 4 à 6 heures par nuit, tandis que seulement 59% bénéficient de 6 à 8 heures de sommeil avec des problèmes d’endormissement pour trouver le sommeil idoine. De plus, 87% des Français connaissent des interruptions pendant leur sommeil avec des réveils nocturnes.

Sommeil et régulation émotionnelle : le sommeil paradoxale avec le REM (mouvement rapide des yeux) est étroitement lié à la régulation de nos émotions. Une nuit de sommeil perturbée peut nous rendre plus speed et moins capables de gérer le stress.

Réduction du risque de troubles mentaux : des études ont montré que le manque chronique de sommeil est un facteur de risque pour plusieurs troubles mentaux, notamment la dépression, l’anxiété, la maladie d’Alzheimer.

Les conséquences d’un sommeil insuffisant

Plusieurs éléments perturbent le sommeil, notamment la présence d’enfants, d’animaux de compagnie ou l’usage d’un matelas inadapté. Ces insuffisances de sommeil ne sont pas sans effets. Les spécialistes du sommeil estiment que nous devons dormir entre 7 et 9 heures pour une santé optimale : et ou c’est le temps de sommeil propre à chaque être humain même si cela vous parait trop long. Sinon, vous risquez à long terme, en dormant moins d’accroître le risque de maladies mentales.

Un manque de sommeil peut avoir des effets profonds sur la santé mentale.

Les troubles et symptômes associés à une privation de sommeil ou à une mauvaise qualité de sommeil incluent :

Irritabilité et sautes d’humeur : même une seule nuit de sommeil perturbé entraîne une irritabilité accrue.

Problèmes de concentration et de mémoire : un manque de sommeil nuit à la capacité de concentration et à la mémoire à court terme à cause de la somnolence associée.

Anxiété : la privation de sommeil  ou les insomnies augmentent les symptômes d’anxiété et, chez certaines personnes, peut contribuer à l’apparition de troubles anxieux.

Dépression : un manque chronique de sommeil est souvent associé à une incidence accrue de dépression.

Altération de la perception et paranoïa : dans les cas graves de privation de sommeil, les individus peuvent présenter des altérations de la perception, comme des hallucinations, ou des sentiments paranoïaque.

Risque accru de troubles bipolaires : certains chercheurs ont découvert qu’un manque de sommeil pourrait déclencher des épisodes maniaques chez les personnes atteintes de trouble bipolaire.

Diminution de la libido : une privation de sommeil chronique fait baisser le désir sexuel.

Augmentation du risque de comportements impulsifs et de prise de décisions irréfléchies : le manque de sommeil diminue la capacité d’évaluation des situations et conduit à des décisions à risque car non réfléchies.

Stress accru : sans un repos adéquat, le corps gère mal le stress, ce qui peut accentuer les autres symptômes mentaux.

Risque accru de comportements suicidaires : certaines études ont lis en avant un un lien entre un manque chronique de sommeil et une augmentation des pensées et comportements suicidaires.

Conseils pour un sommeil de qualité

Voici de précieux conseils pour retrouver un sommeil de qualité :

Un matelas de qualité : le matelas joue un rôle prépondérant pour un sommeil de qualité. 46% des Français admettent avoir mal dormi à cause d’un mauvais matelas, tandis que 37% aspirent à un matelas doux comme un nuage pour un sommeil amélioré.

Emma, spécialisée dans la literie, croit fermement que le secret d’une journée réussie réside dans une bonne nuit de sommeil. La marque propose une gamme de produits, incluant matelas, lits et oreillers, conçus pour optimiser la qualité du sommeil et mieux dormir. Cette gamme est le fruit des recherches d’une équipe d’experts qui travaillent inlassablement pour répondre aux besoins spécifiques liés au sommeil.

Horloge biologique : nous ne sommes pas égaux face à l’endormissement et l’heure du coucher varie d’une personne à l’autre. Alors, dès que vous vous sentez fatigué allez vite vous coucher afin de vite attraper le « train du sommeil ». Sinon, il vous faudra atteindre le prochain cycle de sommeil qui est d’1h30.

Routine régulière : se coucher et se lever à des heures régulières renforce notre horloge interne.

Environnement propice : assurez-vous que votre chambre à coucher soit sombre, calme et fraîche. Évitez les écrans et leurs affreuses lumières bleues 2h avant de dormir.

Pratiquez une activité physique : bouger pendant la joue favorise un bon sommeil lent et profond.

Pas de longues siestes : même si vous êtes très fatigué, ne faites pas de longue sieste pendant la journée car elles entraineraient à coup sûr des troubles du sommeil.

Méthodes de relaxation : pratiques telles que la méditation ou la lecture peuvent aider à se détendre avant le coucher.

Pas de caféine après 16h : pour bien dormir pendant la nuit avec un revigorant sommeil profond et aller au lit sans avoir besoin de ces satanés somnifères éviter tous les excitants comme la caféine ou l’alcool en milieu d’après-midi.

 

* Sondage IFOP pour Emma réalisé en mai 2023

Échantillon de 1000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et +