Site icon Santecool

L’état du bien-être en France et dans le monde

lululemon a publié aujourd’hui son deuxième Rapport annuel mondial sur le bien-être, démontrant l’inlassable engagement de l’entreprise en faveur d’une approche holistique du bien-être dans ses dimensions à la fois physiques, mentales et sociales. L’étude portant sur 10 marchés1 mesure l’état du bien-être en s’appuyant sur l’Indice mondial du bien-être et explore les facteurs et les obstacles du bien-être.

 

« En ces temps difficiles qui ne sont toujours pas dernière nous, notre deuxième enquête mondiale sur le bien-être montre que les individus recourent à d’importants mécanismes d’adaptation pour améliorer leur santé mentale, tout en aspirant d’un autre côté à plus de lien. Chez lululemon, nous pensons que tout le monde a le droit au bien-être – ces données sont une invite à poursuivre les efforts mutuels en faveur de la santé et du bien-être collectifs, et des populations que nous desservons. »

Calvin McDonald

Cette année, l’Indice mondial du bien-être affiche avec 66 points une progression d’un point, poussée par des progrès en matière de santé mentale qui s’expliquent par l’amélioration des stratégies d’adaptation développés par les uns et les autres tout au long de la pandémie. Parmi les faits marquants, il convient de relever ici les défis auxquels est confrontée la génération Z, les conséquences négatives de la consommation excessive des médias sociaux et l’emprise des réseaux sociaux, notamment les avantages en termes de bien- être liés au retour au bureau.

L’indice repose sur l’évaluation du ressenti physique, mental et sociale sur l’échelle du bien-être par les populations de tous les continents. En voici les principales conclusions :

Le bien-être peut être renforcé par une focalisation accrue sur la santé mentale et l’amélioration des stratégies d’adaptation.

 

 

Le bien-être holistique est à la peine, en particulier chez lagénération Z

 

 

 

L’utilisation des médias sociaux en pleine conscience a un impact persistant sur le bien-être

Certes, le retour au travail en présentiel favorise le bien-être, mais les employeurs sont contraints de mettre en œuvre des changements pérennes.

 

 

L’appartenant à un groupe social joue un rôle essentiel dans le renforcement du sentiment de bien-être

 

 

 

En plus du Global Wellbeing Report, lululemon a annoncé aujourd’hui qu’une formation aux premiers secours en matière de santé mentale sera proposée à tous les employés dans le monde, de l’éducateur au PDG, d’ici 2023.

En commençant par les managers, la formation dotera les participants d’outils pour identifier les signes de détresse émotionnelle et les mettre en relation avec les ressources appropriées, y compris les prestations de santé mentale de lululemon.

Par ailleurs, le Centre d’impact social de lululemon a annoncé ce jour l’octroi de nouveaux fonds, à hauteur de 2,25 millions de dollars US, au profit d’organisations à l’ancrage local et d’organismes à but non lucratif d’envergure mondiale dédiés au bien-être sur la chaîne d’approvisionnement mondiale, notamment le programme Made by Women de CARE (qui promeut l’amélioration des pratiques sur les chaînes d’approvisionnement mondiales), le Resilience Fund for Women des Nations unies (qui investit dans la santé pérenne et la résilience économique des femmes œuvrant sur la chaîne d’approvisionnement mondiale) et le Women Win (un fonds mondial de soutien au bien-être des femmes fabricantes). Le Centre pour l’impact social de lululemon, qui vient d’être inauguré, entend lutter contre les inégalités en matière de bien-être par le biais du mouvement, de la pleine conscience et de l’engagement proactif, et poursuit un objectif clair : toucher plus de 10 millions de personnes dans le monde d’ici 2025 grâce à une promesse de fonds de 75 millions de dollars US.

 

Quitter la version mobile