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Nouvelle thérapie génique contre la drépanocytose et la bêta-thalassémie

La drépanocytose et la bêta-thalassémie sont deux maladies génétiques affectant l’hémoglobine et regroupées, par conséquent, dans la catégorie des bêta-hémoglobinopathies. Une équipe de scientifiques de l’Inserm, d’Université Paris Cité et de l’AP-HP au sein de l’Institut Imagine, a montré l’efficacité d’une approche de thérapie génique contre ces deux maladies. Le principe est de réactiver chez les patients la production d’une protéine – la globine fœtale – qui cesse normalement d’être exprimée après la naissance. Dans une étude publiée dans la revue Nature Communications, l’équipe de recherche décrit ainsi une approche prometteuse pour de futures applications thérapeutiques.

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Premiers succès et nouvelles approches en thérapie génique

Porteuse de grands espoirs pour les patients, la recherche en thérapie génique illustre bien le temps nécessaire à la validation d’une nouvelle étude clinique. Il a fallu 20 ans de travaux pour obtenir des résultats cliniques dans certaines maladies qui ont transformé la vie des patients. Aujourd’hui, grâce à de nouvelles recherches et méthodologies de pointe, la stratégie évolue, le gène pourrait ne plus être remplacé mais corrigé, tout comme la thérapie génique s’adresserait à un bien plus grand nombre d’organes et de maladies. Les équipes d’Imagine et du campus Necker-Enfants malades travaillent sur ces approches qui préfigurent la médecine de demain.

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Un champignon pourrait guérir les maladies génétiques rares Score 0 %

Un champignon pourrait guérir les maladies génétiques rares

Un champignon pourrait guérir les maladies génétiques rares. Une équipe de recherche dirigée par Fabrice Lejeune, chercheur Inserm au sein du laboratoire CANcer Heterogeneity, Plasticity and Resistance to THERapies (Inserm/ CNRS/ Université de Lille/Institut Pasteur de Lille/CHU Lille), et en collaboration avec une équipe du Muséum national d’Histoire naturelle, a montré que l’un des principes actifs contenus dans le champignon Lepista inversa a des propriétés réparatrices permettant de corriger certaines mutations génétiques, dites mutations « non-sens ». Les résultats sont publiés dans Nature Communications.

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