L’eau est essentielle à la vie. Il est essentiel d’insister sur l’importance vitale de nettoyer, restaurer et protéger l’organisme. Mais avec la pollution des sols, même filtrée, des centaines de produits toxiques demeurent. Une eau ayant de bonnes données de la bioélectronique de Vincent associée à une alimentation saine et une bonne hygiène de vie est essentielle. Pour comprendre les enjeux lisez vite notre dossier !
(Mise à jour le 2 mai 2023) Pour tout savoir ce qu’est la bioélectronique de Vincent, ses principes et recommandations lisez ce qui suit.
Quel rôle joue l’eau que l’on boit ?
Toute la réponse à cette question peut tenir dans la phrase suivante :
Une eau est intéressante pour l’homme pour ce qu’elle emporte, toxines, métabolites… et non par ce qu’elle apporte. L’eau, est essentielle à toute forme de vie, joue un rôle antioxydant en dépolluant notre organisme par ses valeurs légèrement acides et réductrices.
En quoi une eau inadéquate peut entrainer un vieillissement prématuré ?
Stress, sédentarité, alimentation oxydée, eau de boisson trop chargée en minéraux, sur-automédication, surconsommation d’aliments et boissons acidifiantes, pollution électromagnétique (téléphones portables, ordinateurs …etc. ) influencent l’équilibre acido-basique (équilibre du PH). Ils affectent le fonctionnement des différents systèmes organiques (sang, vésicule, poumons, reins…) et entraînent une surcharge de toxines, déchets alimentaires, microbes et parasites. Ils prolifèrent et font le lit de la maladie et du vieillissement prématuré de l’organisme.
Si l’on change d’eau peut-on espérer améliorer sa santé ?
Dans notre société, surveiller ce que nous buvons est primordial, néanmoins il est également impératif de veiller à ce que nous mangeons.
Si nous n’agissons pas pour éliminer un afflux de toxines par une eau, une alimentation et une activité physique adéquate notre organisme s’empoisonne lentement et les radicaux libres détruisent nos cellules.
Selon la bioélectronique de Vincent, « une eau est intéressante pour l’homme pour ce qu’elle emporte, toxines, métabolites… et non pour ce qu’elle apporte. »
Pour être en bonne santé, il faut d’abord assainir l’organisme et non le surcharger.
Qu’est-ce que la bioélectronique de Vincent?
La bioélectronique de Vincent, également connue sous le nom de BEV (Bio-Electronique Vincent), est une méthode de mesure et d’analyse développée par le professeur Louis-Claude Vincent, un ingénieur hydrologue français, dans les années 1940 et 1950. La BEV est basée sur l’étude des propriétés physico-chimiques de l’eau et des liquides biologiques, tels que le sang, l’urine et la salive.
La bioélectronique de Vincent repose sur trois paramètres principaux :
- Le potentiel redox (ou potentiel d’oxydo-réduction) : Il mesure la capacité d’un milieu à oxyder ou réduire d’autres composés chimiques. Ce paramètre est lié à l’équilibre entre les processus d’oxydation et de réduction dans un système biologique.
- Le pH : Il indique l’acidité ou l’alcalinité d’un milieu. Dans le contexte de la BEV, le pH est considéré comme un facteur clé pour déterminer l’équilibre acido-basique d’un organisme.
- La résistivité : Elle mesure la capacité d’un milieu à résister à la conduction électrique. La résistivité est liée à la concentration des ions dans un milieu et reflète la capacité d’un organisme à maintenir son équilibre ionique.
Selon la théorie de la bioélectronique de Vincent, ces trois paramètres sont interconnectés et peuvent être utilisés pour évaluer l’état de santé d’un individu. Vincent affirmait que les déséquilibres dans ces paramètres pouvaient être à l’origine de divers problèmes de santé et de maladies.
Cependant, il convient de noter que la bioélectronique de Vincent est une approche controversée et n’est pas largement acceptée par la communauté scientifique. Les critiques soulignent que les paramètres mesurés ne sont pas suffisamment spécifiques pour diagnostiquer des maladies et que les preuves soutenant les affirmations de Vincent sont insuffisantes. Néanmoins, la BEV a gagné un certain nombre d’adeptes, en particulier dans les domaines de la médecine alternative et de la naturopathie.
L’eau participe à toutes les réactions et fonctions essentielles pour le bon fonctionnement de notre organisme, elle est nécessaire pour notre équilibre hydrique. L’analyse bioélectronique est une technique scientifique qui nous permet de mesurer de l’énergie de ce liquide. La mesure de ce micro-courant peut être réalisée aussi bien dans une solution aqueuse que dans les liquides vitaux (salive, urine, sang). C’est lui qui détient le secret du système immunitaire et de la longévité.
En faisant des études statistiques sur l’eau, Louis Claude Vincent, un hydrologue français, compara en 1936 les mesures de l’eau à l’état de santé des villageois. Il fit une différence entre ce que l’on appelle eau potable et eau « biodisponible » (compatible avec la santé).
Ses statistiques montrèrent que l’eau la plus saine avait un pH (potentiel Hydrogène) en dessous de 7 donc légèrement acide et était réductrice et peu minéralisée. Sur une échelle de valeurs, pH = 0 correspond à l’acidité maximum, 7 à la neutralité et 14 à l’alcalinité maximum.
Le facteur d’oxydation et de réduction (rH2) qui indique sur une échelle de 0 à 42, la quantité d’électrons contenus dans l’eau. Au-dessus de 28, l’eau est fortement oxydée, pratiquement sans électrons libres, et en dessous de 28, il y a de plus en plus d’électrons libres. Par exemple un jus de fruit, s’oxyde à la lumière et à l’air. Cette action d’oxydation fait augmenter la valeur du rH².
La quantité de minéraux nous donnera des indications sur sa conductivité et résistivité c’est-à-dire sa capacité à conduire et transmettre une information électrique (Siemens/cm) et sa pureté (ohms).
Sa valeur énergétique appelé aussi flux énergétique sera exprimé en microwatts (µW).
L’analyse des liquides vitaux en BEV (Bioélectronique Vincent) telle quelle est pratiquée au sein de nos laboratoires ne doit pas être considérée comme un outil de diagnostique, mais bien comme un moyen de contrôle de votre terrain biologique par rapport à des valeurs de bonne santé.
Par contre, l’analyse de l’eau nous permettra de déterminer à quelle grande classe d’eau elle appartient en fonction de 2 critères bien précis: la pureté et la biocompatibilité. Les eaux thermales (acides réductrices) , les eaux polluées (alcalines et réductrices), les eaux parfaites ou eaux de source (acides et pures) préservant la santé lors qu’elles sont bues au griffon et les eaux de surface (lac, rivière ), traitées (chloration) les eaux du réseau (alcalines et oxydées).
Quelle eau doit-on choisir ?
Selon nos plus grands spécialistes notre corps a besoin d’une eau possédant de bons facteurs bioélectroniques.
Votre choix devra donc s’orienter de préférence vers une eau faiblement minéralisée et « biodisponible ».
Les recherches bioélectroniques de Louis Claude Vincent, Jeanne ROUSSEAU Présidente d’honneur de l’association B.E.V. préconisent une fourchette de 10 à 150mg/litre de minéraux.
(ex : l’eau de Mont Roucous contient 16mg de sel minéraux par litre, Montcalm, Rosée de la Reine, Grand Barbier, eaux traitées par osmose inverse ont elles aussi de bonnes valeurs bioélectroniques)
En bioélectronique Vincent, les paramètres souhaitables pour l’eau :
pH 5,0 – 7,5
rH2 18 – 29
rô 5000 – 100000
W 3 – 30μW
Minéralisation : comprise entre 10 et 150 mg
La plupart des eaux de boisson sont traitées pour devenir potables :
Le marché offre souvent au consommateur des eaux bicarbonées, saturées en sucre, fortement minéralisées ou alcalines.
Le taux de minéralisation de l’eau est capital « Toute eau dont la minéralisation est supérieure à 150 mg/l (milligrammes par litre) ne doit jamais être bue. C’est une eau entartrante, sclérosante, facteur de vieillesse prématurée. » (Pr Louis Vincent réf. « Riom-Journal » du 26 mars 1953).
A l’eau distribuée au robinet, parfois issue de sources de bonnes qualités, est additionnée, en quantité plus ou moins importantes, du chlore, de l’arsenic, de l’aluminium, etc… De plus, au contact de la tuyauterie elle se contamine de plomb, cadium, cuivre, fer, nickel et amiante. …
450 pesticides, 3500 spécialités commerciales se retrouvent quotidiennement dans notre eau de boisson. Ce sont les produits phytosanitaires, soins corporels, substances chimiques de synthèse conçues pour notre bien-être et santé (antibiotiques, hormones contenues dans les contraceptifs, etc…).
L’eau embouteillée (analysée à partir de 48 sources européennes dont 9 eaux minérales françaises) contient de 95 à 165 fois plus d’antimoine que l’eau du robinet. Au regard des dernières analyses connues, le recours au PET (bouteille en polyéthylène) semble être tenu pour responsable. La toxicité de cette substance a été reconnue comparable à celle de l’arsenic et provoquerait même à faible dose, maux de tête et multiples vertiges !
La plupart des filtres domestiques n’éliminent pas ces toxines, il faudrait donc utiliser une filtration de type osmose inverse ou veiller à n’utiliser que des bouteilles en verre.
Pourquoi tous les minéraux ne sont pas assimilables par l’homme et quel rôle joue l’eau que l’on boit ? = Pourquoi les minéralisées sont mauvaises pour la santé ?
Les données des analyses bioélectroniques démontrent que les minéraux non assimilés entartrent et perturbent l’organisme. Faute d’oxygénation cellulaire, d’épuration du sang, de filtration rénale, de drainage des toxines accumulées l’on risque arthrose, maladie d’Alzheimer, constipation, calculs, troubles du sommeil, irritabilité….
Henri SCHROEDER, spécialiste mondial en matière de minéraux conforte cette affirmation « NOUS NE POUVONS PAS ASSIMILER PLUS DE 1% DES MINERAUX CONTENUS DANS L’EAU DE BOISSON » Ce qui tend effectivement à dire que les 99% restant encrassent notre organisme.
Boire une eau fortement minéralisée est préjudiciable à la santé.
« Affirmer ou laisser entendre que les sels minéraux contenus dans l’eau sont indispensables pour couvrir nos besoins ne tient pas compte du fait que ces sels sont éliminés avec les urines 20 à 30 minutes après leur absorption. Une carence magnésienne n’a jamais pu être guérie par l’absorption de l’eau contenant des sels de magnésium ! » Professeur Joseph Orzagh
Pourquoi le corps médical ne nous informe-t-il pas ?
D’un côté, cela fait plus de 90 ans que le corps médical nous informe des risques que peuvent créer l’eau de boisson dans l’évolution des maladies dégénératives comme le cancer.
En 1912, Alexis Carrel, Prix Nobel de Médecine prévenait déjà qu’une surcharge en minéraux non assimilés conduisait à des maladies dégénératives. Dans la Revue de pathologie comparée et de médecine expérimentale, novembre 1952, le Dr Violle écrit « La consommation d’eau fortement calcaire n’est pas recommandable. Au-delà de 30 degrés hydrotimétriques (soit environ 150 mg de sels par litre), les hygiénistes estiment qu’une telle eau ne doit pas devenir une eau de boisson courante. » (Sources Vitales, n°70, mars 2009, p. 5).
1953 le professeur Louis-Claude Vincent, fondateur de la Bioélectronique disait : « toute eau dont la minéralisation est supérieure à 150 mg/l (milligrammes par litre) est une eau qui ne doit jamais être bue. C’est une eau entartrante, sclérosante, facteur de vieillesse prématurée. » (réf. « Riom-Journal » du 26 mars 1953).
En 2009, le Dr Hélène Budzinski Directeur de Recherches CNRS disait reconnaître qu’il y a une grande méconnaissance des composantes et des risques liés à la contamination des eaux par les « nouveaux contaminants », et se sentir impuissante face aux résultats des combinaisons aléatoires de ces différents produits.
Le Professeur Montagnier explique très clairement que le SIDA vient du stress oxydatif (déficit d’électrons dans l’organisme), surtout par l’eau. « L’eau est la clé » dit il dans une interview sur les eaux oxydantes (prédatrices d’électrons) / réductrices (donneuses d’électrons) réalisée en 2009 par Brent Leung.
La NBC/ Enquête de l’Associatiatec Press par Jeff Donn, affirme de son côté que plus de 100 produits différents et toxiques ont été détectés dans les lacs des rivières, les réservoirs et rivières du monde entier, de l’Asie au Canada, en Europe et même dans les lacs Suisse.
De l’autre côté, l’industrie pharmaceutique affirme que la contamination des réserves d’eau ne constitue pas un problème pour la santé humaine. Pourtant, on a découvert en laboratoire que de toutes petites quantités de médicaments sur une base continuelle, affectaient les cellules rénales, embryonnaires, les cellules sanguines et les cellules cancéreuses du sein chez les humains ; les cellules cancéreuses se multipliaient trop vite, les cellules rénales se développaient trop lentement, les cellules sanguines avaient une activité biologique liée à de l’inflammation. Cela pourrait être à l’origine d’allergies et de lésions. Les écosystèmes étaient touchés par cette pollution, les poissons changent de sexe !
Pour exemple : Seuls certains grands centres de traitements des grandes villes comme Marseille(2004) sont équipés d’un système de boue activée permettant de ne pas retrouver ces nouveaux polluants. Le paracétamol y avait été mesuré à 200microgramme/litre d’eau à l’embouchure (il se vend en France 2000T de paracétamol). Pour les Analgésiques, à Rouen : Pour l’ibuprophène ; la dose thérapeutique est de 200mg d’ibuprophène /cachet. La dose rejetée par la station était au jour et à l’heure du prélèvement atteignait les 10gr par jour !
Les eaux sont traitées avec différents produits pour devenir potables, et obéissent à des normes très différentes d’un pays à un autre
Le chlore, extrêmement toxique et volatil réagit avec la matière organique contenue dans l’eau du robinet pour former des composés appelés triolométhanes. Ceux-ci peuvent s’accumuler dans les tissus adipeux et créer des mutations génétiques et modifier la croissance cellulaire. Le simple fait d’ouvrir le robinet, de respirer l’émanation de chlore, de se doucher est nocif pour la santé. La chloration, qui si elle détruit les microbes pathogènes, s’attaque aussi aux bactéries intestinales garantes de notre bonne santé.
L’aluminium utilisé pour la décantation a été reconnu par le corps médical, responsable de la nécrose des tissus cellulaires dans la maladie d’Alzheimer.
On continue la fluorisation de l’eau potable, alors que le fluor est toujours classé par la FDA « nouveau médicament non approuvé ». Selon le DR William Marcus, scientifique de l’EPA (United State Environmental Protection Agency) le fluor est la seule substance connue qui génère le cancer des os, dont le taux est supérieur de 80 à 600% dans les municipalités où l’eau est fluorée.
Conclusion, pour dépolluer parfaitement l’eau, il faudrait déjà connaître tout ce qu’il y a dedans ! Or nos appareils ne sont pas conçus pour déterminer toutes les molécules qui sont présentes.
Or, nous sommes en droit de nous demander, quels sont les budgets consacrés à la prévention et à l’amélioration de la protection de l’eau potable face aux risques sanitaires posés par ce large éventail de contaminants qui s’entremêlent et donnent naissance à des molécules inconnues?
A quoi servent aujourd’hui les normes établies il y a 50 ans, alors qu’on jamais déterminé officiellement les effets des dépassements !
On favorise bien le développement de nouvelles technologies pour éviter de polluer l’air!
Il est grand temps d’arrêter de sous–estimer la valeur de l’eau que nous buvons !
Sophie Closset