L’ONS (Observatoire National de la Sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement) vient de publier un rapport alarmant. Un élève sur trois refuse d’aller aux toilettes dans son établissement scolaire à cause des problèmes d’hygiène dans ces lieux d’aisance. Une solution existe pourtant…
L’hygiène dans les WC publics, à l’école, au collège, dans les moyens de transport, sur les lieux de vacances, dans les bars, restaurants, cinémas, … peut poser problème. Il n’est pas évident que vous ayez à votre disposition des toilettes saines et hygiéniques ! Le coup d’œil à la lunette ne suffit pas. Or, les WC sont un lieu de prolifération naturel de germes, virus, bactéries et donc vecteurs de transmission de maladies contagieuses par contact.
La nouvelle étude de l’ONS (Observatoire National de la Sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement) mandatée par l’éducation nationale sur l’hygiène dans les toilettes des établissements scolaires, tire la sonnette d’alarme. Elle vient d’être publiée sur http://ons.education.gouv.fr/ONS-Rapport-2013.pdf.
Des conséquences médicales notoires
Le constat est préoccupant. D’après ce rapport officiel, sur plus de 1700 collèges et lycées qui ont répondu en 2013, un élève sur trois refuse d’aller aux toilettes à l’école, la raison : 91% dénoncent le manque de propreté. A cause de cette situation, les enfants se retiennent toute la journée, ce qui non seulement perturbe leur concentration en cours mais surtout favorise de nombreuses pathologies comme :
– des maux de ventre fréquents,
– un état de constipation chronique,
– des infections urinaires et des troubles mictionnels, qui chez l’adulte peuvent conduire à une dysfonction mictionnelle et à l’incontinence urinaire.
Cette problématique impacte fortement la vie quotidienne des élèves et peut avoir à terme des conséquences directes sur leur santé. Cette situation est dénoncée par plusieurs médecins comme : le Docteur Lenoir, médecin de l’éducation nationale, Michel Averous, chef de service d’urologie pédiatrique au CHU de Montpellier et l’association française d’urologie.
« Ces troubles commencent déjà à l’école élémentaire compte tenu du fait qu’à l’école maternelle les enfants bénéficient d’un accompagnement particulier. Ils peuvent perdurer, s’aggraver au collège et au lycée et entrainer de graves séquelles chez l’adulte. », précise le rapport de l’ONS et le corps médical.
Plus grave, malgré ce ressenti très négatif, les enfants n’osent pas se plaindre à leurs parents de l’état des sanitaires de leur école.
Ils permettent enfin aux enfants de ne plus devoir se retenir d’aller aux toilettes à l’école ; pour les parents, c’est surtout la garantie de protéger efficacement leurs enfants vis-à-vis de pathologies parfaitement évitables.
Les 10 protections WC Pocket jetables sont commercialisées en pack sous blister avec sachet refermable
2,95 euros – en pharmacie
Sources :
• CHU de Rennes – Étude 2012.
• CHU de Toulouse – Professeur J.P. Olives.
• Hôpital de Tondu à Bordeaux – Étude Philippe Ballanger