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Acides gras, mollécules miracles contre Alzheimer?

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On estime que plus de cinq millions d’Américains souffrent de la maladie d’Alzheimer, une maladie dégénérative du cerveau. Le nombre de malades double à peu près tous les cinq ans après l’âge de soixante-cinq ans, si bien que les gens qui vivent au-delà de quatre-ving-cinq ans ont à peu près 50 % de risque de développer la maladie. A ce jour aucun traitement n’est arrivé à soigner voire même à stabiliser le malade. C’était sans compter sur les recherches du Docteur Mary T. Newport qui a découvert que le pouvoir exceptionnel des acides gras. Explications.

Tandis que la génération des baby-boomers atteint le milieu de la soixantaine et au-delà, à moins qu’une découverte médicale capitale permette d’identifier des moyens de prévenir ou de traiter la maladie d’Alzheimer, arrivé en 2050, on anticipe que le nombre de ses victimes aura triplé pour atteindre le chiffre stupéfiant de quinze millions de personnes rien qu’aux États-Unis, et plus de cent millions dans le monde. Mary Newport est médecin et a choisi d’accompagner son mari Steve, atteint de la maladie d’Alzheimer, d’une façon innattendue. Elle a découvert que les acides gras à chaîne moyenne peuvent parfois inverser ou du moins stabiliser la maladie. Grâce à l’huile de noix de coco. Quand Steve a pris environ 2 cuillères à soupe d’huile de noix de coco (une source des acides gras) au petit déjeuner avant un test de mémoire, les résultats ont été spectaculaires. Steve a passé le test avec brio. Depuis, il a continué à maintenir l’amélioration, tout en prenant des doses quotidiennes d’huile de noix de coco enrichies avec de l’huile de triglycérides. Le cerveau de l’Alzheimer étant résistant ou déficient en insuline, la consommation de ces acides gras fournit des cétones comme combustibles de substitution au glucose. Les résultats sont surprenants : – amélioration de la mémoire – retour de la personnalité – reprise des activités – interaction sociale

Le livre présente l’histoire du sursis de Steve dans la spirale de la maladie d’Alzheimer, ainsi que des conseils pratiques, diététiques pour appliquer cette méthode révolutionnaire au jour le jour.

Mary T. Newport, est la directrice fondatrice de l’unité des soins néonatals à l’hôpital Régional de Spring Hill, en Floride. En 2008, le Dr Newport a écrit un article «Et s’il y avait un remède à la maladie d’Alzheimer et  que personne ne le savait ? ». Après que son article a été diffusé dans le monde entier sur Internet, le Dr Newport a été invitée depuis 2010 à présenter le sujet de la Conférence internationale sur la maladie d’Alzheimer et dans de nombreux pays.

On estime que plus de cinq millions d’Américains souffrent de la maladie d’Alzheimer, une maladie dégénérative du cerveau. Le nombre de malades double à peu près tous les cinq ans après l’âge de soixante-cinq ans, si bien que les gens qui vivent au-delà de quatre-ving-cinq ans ont à peu près 50 % de risque de développer la maladie. Tandis que la génération des baby-boomers atteint le milieu de la soixantaine et au-delà, à moins qu’une découverte médicale capitale permette d’identifier des moyens de prévenir ou de traiter la maladie d’Alzheimer, arrivé en 2050, on anticipe que le nombre de ses victimes aura triplé pour atteindre le chiffre stupéfiant de quinze millions de personnes rien qu’aux États-Unis, et plus de cent millions dans le monde. Mary Newport est médecin et a choisi d’accompagner son mari Steve, atteint de la maladie d’Alzheimer, d’une façon innattendue. Elle a découvert que les acides gras à chaîne moyenne peuvent parfois inverser ou du moins stabiliser la maladie. Grâce à l’huile de noix de coco. Quand Steve a pris environ 2 cuillères à soupe d’huile de noix de coco (une source des acides gras) au petit déjeuner avant un test de mémoire, les résultats ont été spectaculaires. Steve a passé le test avec brio. Depuis, il a continué à maintenir l’amélioration, tout en prenant des doses quotidiennes d’huile de noix de coco enrichies avec de l’huile de triglycérides. Le cerveau de l’Alzheimer étant résistant ou déficient en insuline, la consommation de ces acides gras fournit des cétones comme combustibles de substitution au glucose. Les résultats sont surprenants : – amélioration de la mémoire – retour de la personnalité – reprise des activités – interaction sociale

Le livre de Mary T. Newport, Maladie d’Alzheimer – Et s’il existait un traitement ? Les molécules de l’espoir paru aux Editions Trédaniel présente l’histoire du sursis de Steve dans la spirale de la maladie d’Alzheimer, ainsi que des conseils pratiques, diététiques pour appliquer cette méthode révolutionnaire au jour le jour.

 

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